Coucou ! Ce début donne envie de découvrir le reste ! Je vais suivre ton histoire. Si tu veux, tu peux lire la mienne en retour et on peut se soutenir en se likant mutuellement, tout le long du concours.😉
Elodie Pastoureau
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Il y a 4 mois
Coucou . Un petit ❤️d’encouragement Si tu souhaites que l’on se soutienne mutuellement n’hésite pas à jeter un œil à mon histoire 🌸
Alma Delcourt
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Il y a 4 mois
Merci beaucoup ! Yes, je vais passer sur ton histoire ! ☺️
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
1/ Coucou binôme d’AUL ! Je vais faire des commentaires en fin de chapitre, pour profiter du CDDA, j’espère que tu ne m’en veux pas (au pire, je t’annoterais aussi, si c’est plus utile pour toi).
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
2/ Alors, déjà, le premier paragraphe est enfin poétique à bon escient. Combien d’histoire j’ai lu qui n’utilise pas la forme pour souligner le fond. Et là, c’est clairement le cas et ça fait du bien. Les différentes figures de styles mettent bien en exergue la mélancolie du personnage. Franchement, c’est tout ce que je demande : la forme au service du fond. De « L’herbe est humide [...] » à « […] gagne du terrain. », je suis très content de voir que tu utilises le décor non seulement pour qualifier la protagoniste, mais aussi afin de rendre le tout sensoriel. C’est une jolie mise en scène de la solitude.
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
3/ Juste pour revenir sur « tâche le pantalon », c’est sans accent circonflexe. Un bon moyen mnémotechnique : « task » en anglais. C’est un travail, donc dans ce sens là, en français, on met un accent circonflexe. Dans le sens de salissure, on n’en met pas. (Je l’ai appris récemment, j’avais toujours cru que c’était tout le temps avec un accent ^^’ ) Mon seul commentaire négatif sur ce début serait la répétition du verbe « trouver » et du verbe « savoir ». J’imagine que la répétition de « seul/seule » est pour marquer la solitude, donc je ne le cite pas.
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
4/ Passons à « Lise retient ses larmes […] » jusqu’à « De plus en plus souvent. ». Alors, la première chose qui m’a sauté aux yeux, c’est « claquer » et « claquement » à quelques lignes d’écart. De plus, certaines formules appuient encore sur la solitude. Alors, ça fonctionne encore, mais cela fait automatiquement remarquer « l’entrechoquement des os ». Je me suis demandé en lisant la phrase si elle était squelettique ? De plus, j’ai eu du mal à comprendre à quoi se référer le verbe « rappeler » dans « Ses yeux se ferment un instant, ses poumons se remplissent d’air, lui rappellent qu’elle existe. » Je pense que si tu veux parler des yeux et des poumons, un simple « tout lui rappelle » et ça marcherait sans problème.
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
5/ De « Lise conduit les yeux grands ouverts […] » à « […] nature extravertie se trouve complètement déstabilisé. » Je vais commencer par les petits détails : les répétitions. Yeux, reprendre, contenance/contenir, immeuble, souffler/souffle, encore ; mais aussi structure de phrase qui se répète en commençant par un complément en tête. Rien de bien méchant, c’est vite repris sur un deuxième jet. Les points positifs : la réutilisation de la marguerite avec le pétale blanc. C’était inattendu et vraiment très bien fait. Donc, j’aime beaucoup ce passage.
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
6/ Mais comme j’aime aussi chipoter, j’ai trois questions : Quelle est la focalisation de ton narrateur ? Il semble deviner les émotions de Maël, mais je l’imaginais focalisé sur Lise. Sera-t-elle variable, va-t-elle jongler d’un personnage à l’autre ? Ensuite, pourquoi préciser « la concentration » et « mal à l’aise » ? Je voulais simplement te préciser que sans ça, en tout cas pour ma part, j’avais très bien compris rien qu’avec les descriptions et les dialogues.
Alma Delcourt
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Il y a 4 mois
Merci beaucoup pour ton retour détaillé ! Je vais pouvoir corriger les répétitions et maladresses qui m’avaient échappé 😊
Concernant la narration, j’ai fait le choix d’une focalisation interne à la troisième personne, qui permet d’explorer les émotions et pensées des personnages. Il y a effectivement des glissements ponctuels d’un point de vue à l’autre, notamment entre Lise et Maël, selon les moments clés.
Et tu as raison pour « concentration » et « mal à l’aise ». Merci de les avoir relevé, je vais alléger un peu tout ça.
30 commentaires
J.Branaë
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Il y a 4 mois
Elodie Pastoureau
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Il y a 4 mois
Alma Delcourt
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Il y a 4 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
Anthony Dabsal
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Anthony Dabsal
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Il y a 4 mois
Alma Delcourt
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Il y a 4 mois