Je découvre ton histoire après le cp et ton post sur le forum. Impossible de ne pas dévorer les chapitres. Les apparences sont si souvent trompeuses…

J'aime beaucoup cette phrase, qui laisse envisager beaucoup de choses pour la suite

ahah ouais la vache, cash épouser, Juliette je la vois tellement comme une fille fleure bleue naïve^^

Oui, ça l'est. Oui, cela dérange... Ce n'est pas "la famille dont on rêve" avec "le papa" "la maman" et "la gentille nounou". Je pense que ce thriller touche à un sujet qui est de plus en plus tabou : les réalités derrière les portes closes, les parents qui boivent, qui fument du hashich, qui ont des problèmes de violence plus ou moins larvée... et puis, simplement ceux qui sont épuisés, au bout du rouleau, lessivés par des nuits interrompues par les cris du bébé, le jour aussi... C'est CELA la réalité, juste exacerbée dans mon roman. Je commence à mieux comprendre pourquoi il dérange tant. Car je constate qu'il dérange. 😉

Bien, cela ramène à Noé et lui donne vie, c'est important.

Oui et non, puisque l'enjeu du roman n'est pas là. En fait, quand tu lis le prologue, tu comprends que Noé a été blessé... Pour cette raison, je n'ai pas souhaité que le lecteur s'attache à l'enfant, mais plutôt qu'il se focalise sur la psychologie des personnages. Ce n'est pas un feel good ou quelque chose de ce genre, bien au contraire. DONC : non, le lecteur ne doit pas trop s'attacher à Noé. Surtout pas, je dirais...