Entre ses parents et sa nounou, il n’est pas gâté le pauvret.

J'ai beaucoup aimé ce chapitre où tu nous montres que derrière l'image se cache de sombres de choses (en l'occurrence une nana avec un trouble psy là), pauvre Noé qui n'a rien demandé et se retrouve au milieu de tout ça !

Oui, complètement : en effet, c'est bien dans ce chapitre qu'on apprend que Juliette relève de la psychiatrie, ou du moins, traverse un épisode psychotique... 😬🥶

Absolument, c'est bien quelque chose de psychotique qui se joue, chez Juliette... et ça ne se voit pas de prime abord. Mon roman, c'est ça aussi : montrer tout ce qui peut se cacher, derrière des apparences qui semblent si lisses... et "sans accent", on ne voudrait pas "faire campagne", n'est-ce pas ? Mais on est parfois tellement pire, à vouloir trop lisser les choses... 😬

Olala on tombe dans la tragédie... pauvre Juliette, pauvre Noé, pauvre Hélène..je les plains tous

En fait, Juliette a là une sorte d'épisode qui frôle la psychose (donc une sorte de "folie", si on veut)... mais je ne suis pas sûre que le lecteur le comprenne. En fait, j'ai l'impression que la fin de ce chapitre, qui me semblait évidente quand je l'ai écrite, ne l'est pas du tout pour le lecteur... Merci pour ta lecture, en tous les cas ! Je passerai également voir ton texte, et poursuis le lecture (je me répète, mais bon, c'est un commentaire, alors on a le droit 😬😬😅😁😁😁) de tes commentaires...

Bien, rappelle le prologue, ce pourquoi nous sommes revenus en arrière. Ça remet du peps au récit !

Oui, peut-être le thriller ne te convient-il pas, dans sa dimension essentiellement psychologique ? Si on attend plein d'action, on passe à côté de l'enjeu de l'histoire, du roman...