J'ai l'impression que ton histoire traine en longueur. Oui, elle a des bouffées d'angoisse, mais tu t'attardes trop, entre sa sortie de chez le psy, puis après chez elle. Quand au psy qui veut passer un coup de fil puis finalement ne le fait pas... on sent bien que tu veux nous faire avoir des soupçons sur lui, mais comment c'est amené, c'est trop "gros". Ça manque de subtilité. À part les premières phrases qui m'ont permis de mieux ressentir ce qu'elle ressent, tout le reste, à mon avis, ne sert pas l'histoire. Ou alors, il faudrait le raccourcir et le mettre dans ton chapitre précédent. Ça ne suffit pas à faire un chapitre, pour moi. Par contre, les émotions qui la traverse, la force de ce qu'elle ressent et qui la dépasse, ça c'est important et c'est ce qui manquait dans les chapitres précédents.

Tous les verbes de ce paragraphe devraient être au passé simple et pas à l'imparfait. Ce sont des actions brèves qui s'enchaînent, qui ne durent pas dans le temps :-)