Ce qui est super intéressant, c’est le choc entre les deux mondes : celui des favelas et celui de l’école en France. Ça donne un vrai regard nouveau et beaucoup d’humanité au texte. Silvia, elle fait direct le lien entre Nissam et tous les enfants qu’elle a connus qui ont disparu chez elle. Peu importe le pays, ce sont toujours les mêmes qu’on oublie : les enfants pauvres, discrets, invisibles. C’est fort.
Et puis, il y a un vrai mystère qui s’installe avec ce fameux papier que Renato lui donne. Il a vu un truc, mais il dit rien… Du coup, on a envie de savoir ce qu’il cache. Ça met une tension, une ambiance lourde, presque inquiétante.
Par contre, le mélange des langues, c’est réaliste et touchant, mais ça peut perdre certains lecteurs, surtout s’ils pigent pas le portugais ou l’espagnol. Et comme Silvia s’exprime parfois avec des phrases très courtes ou mal tournées, ça rend la lecture un peu hachée. Même si ça colle bien à son personnage, ça peut un peu gêner la fluidité du texte.
MadameHawthorne
-
Il y a 5 mois
Je vais essayer d'y faire attention à l'avenir, certains aspects ont été travaillé exprès mais j'entends les conseils ✨️❤️
Miri H
-
Il y a 5 mois
Voici quelques votes pour te soutenir ✨ Je viendrai te lire dès que possible 🫰🏻❤️
19 commentaires
Lilou Mell
-
Il y a 5 mois
MadameHawthorne
-
Il y a 5 mois
Dystopia_Girl
-
Il y a 5 mois
MadameHawthorne
-
Il y a 5 mois
Miri H
-
Il y a 5 mois
MadameHawthorne
-
Il y a 5 mois