J'apprécie le ton que tu donnes à ton chapitre. Les personnages sont à la fois blasés et sous le choc de la nouvelle. On sent un certain humour derrière les pensées de Mickey. Et son attachement à son fils et le lien qu'il nous faut pour découvrir sa fragilité. Ce point d'ancrage qui va surement lui faire faire l'impossible. Tu le sais déjà, j'aime ta plume et la retrouver est un vrai plaisir. Et oui ! C'est "TA PLUME" et tu peux crois en elle comme en toi. :)

C'est le but des zombies, non ? :)

Ton commentaire m'a fait trop rire 😂 je me disais la même chose aussi. Moi, si ça se passait réellement, j'aurais déjà fait un malaise en espérant ne plus jamais me relever...

C'est Excellent ! Je suis heureuse de retrouver ta plume, celle qui est acérée et vive, pleine de cynisme et d'humour en même temps. Un aspect qui me surprend et qui peut-être, manque au réalisme de la chose, c'est l'absence d'inquiétude pour le stock alimentaire. Vivre en état de siège en faisant des jeux vidéo c'est une chose, mais à mon avis la préoccupation première, avant "est-ce que ma NES fonctionne encore", c'est "quelle quantité de bouffe on possède et combien de temps on tient. Je crois qu'une virée en mode pillage à l'épicerie ou au supermarché aurait été la priorité : pates, farine, sucre, sel, eau en bouteille, huile, riz, conserves... Ça me semblerait pertinent que ça devienne un sujet de préoccupation, je suis étonnée que ça ne soit pas le cas ?

Merci de tes retours toujours constructifs :) Oui, c'est un aspect qui est à la fois logique et évident quand on se projette dans ce genre d'univers. Concernant Mickey et ses parents, je ne l'ai pas encore développé car la mère de Mickey a toujours tendance a accumuler les réserves - elle est du genre fourmi, tu vois ? ;)

joie

AH, pas courant, ça... c'est commode

tout ce qui bougeait autour d'eux