C'est marrant, mais je le trouve plus intime, ce chapitre-là. Tu fais ressortir le trauma de Victoire (vis à vis de sa mère qui lui reproche de prendre trop place) de manière très subtile encore une fois. J'adore parce que tout est dans le sous-texte avec toi : beaucoup de petites phrase ici et là qui laissent apercevoir le fond de l'iceberg. Outre le texte, l'histoire continue sous les mots choisis et c'est assez forts. Victoire commence doucement à s'affirmer comme personnage aussi. Dans le sens où on ne la voyait pas prendre de décisions ni la direction de l'intrigue, qu'elle subissait jusque-là. C'est encore timide, mais dans ce chapitre, elle demande des nouvelles de Thomas (qui, d'ailleurs, laisse enfin transparaitre ce qu'il pense physiquement d'elle et comment il se sent vis à vis de ce qu'il pense de ça); elle se censure 2x entre ce qu'elle pense et ce qu'elle dit et elle pose un "regard critique" sur son environnement (les chambres des enfants et, par extension, la différence de parents que sont Thomas et sa mère)