Je ne l'ai pas encore dit non plus, mais je trouve que tu es douée pour instaurer du suspens, dans le sens où le lecteur a tous les éléments pour comprendre que l'histoire peut évoluer d'un côté ou de l'autre, mais il reste des pans d'ombres qui ne seront soulevés qu'en tournant les pages. Ca se débloque, on sent qu'on va apprendre de nouvelles choses dans les chapitres suivants et que ça risque de changer pas mal de perspectives pour Victoire. Ton histoire se lit toute seule, tout est en délicatesse, sous entendu, très élégante. Comme c'est le dernier chapitre disponible, je me repose la question sur la partie technique équestre et le publique cible. Mais comme le truc, c'est qu'il existe à ce jour beaucoup de romance avec un amour d'enfance, et très peu qui se passent dans le monde équestre, je me dis que toute la partie avec les chevaux est ce qui différencie ton histoire de toutes les autres (en plus de ta plume subtile). A partir de là, si cette histoire était écrite par moi-même (et c'est peut-être ce vers quoi tu vas), je pense que j'irai plus fort dans le monde équestre, avec une relation très poussée entre Victoire et un cheval comme Joris en parallèle de la romance, pour pouvoir incorporer dans le récit une vision de l'équitation plus juste et plus belle que ce que l'on voit en club, avec tout le travail à pied et de plat que tu as déjà mis en place dans les premiers chapitres, ainsi que d'autres noms de maitres en équitation légère (Philip Karl, pour ne pas le nommer ;) ) afin de sensibiliser le lecteur-cavalier à toute cette dimension bien être. Comme l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (qui, a réflexion est un peu le livre modèle du tien, vu qu'il est très technique équestre, mais a eu du succès littéraire ET cavalier) ( Je ne sais pas si je l'ai déjà dit, mais je suis le genre de lecteur qui ne supporte pas de lire seulement "chapitre par chapitre" et qui préfère se binger tout d'un coup, donc je vais attendre que plusieurs chapitres soient débloqués avant de revenir).