J'ai adoré tout le passage où Zach remarque ce qui est anormal chez Reese, on voit bien au-delà de son besoin de stabilité et de rituels qu'il a un sens de l'observation très aiguisé, et de la sympathie pour son collègue. Je n'avais pas réalisé que la mère de Zach avait capté que son fils aimait bien Reese. Je ne sais pas si ça transcende bien dans les chapitres précédents. Attention aux métaphores dans la narration en revanche. Si Zach ne les comprends pas, il ne peut pas en utiliser lui-même. J'avoue que moi il peut m'arriver de répondre au premier degré en sachant que c'est une métaphore mais la réponse verbale arrive avant l'analyse symbolique dans ma tête (d'où le coup du mot de cinq lettres m'a bien faire rire, j'ai des amis qui auraient pu la sortir celle-là, elle est très bonne 😁). Je me demande pourquoi Reese pense à quitter son boulot. Pour suivre ses colocs ?

Il y a un problème de scission, la réplique de Zach se confond avec celle de sa mère ou alors c'est une pensée mais dans ce cas ça fait trop bloc

Vous vous criez

Trop aimable 😅

Je compatis

C'est drôle 🤣 j'ajouterai un "repliqué-je" peut-être pour qu'on comprenne que ça c'est une vraie touche d'humour volontaire de sa part et pas une incompréhension. Il utilise des métaphores telles que champ de bataille et coup d'oeil, pourquoi ne comprendrait-il pas le sens de "bien grand mot" ?

Je n'ai pas fait attention s'il était ou non à l'aise avec les métaphores jusqu'à présent.

Je n'ai pas surveillé s'il était à l'aise avec les métaphores.

Je n'ai pas surveillé s'il était à l'aise avec les métaphores.

Je me demande si ça ne serait plus marrant d'écrire : "Il est trop silencieux. Quelque chose ne va pas." Sans que Zach mentionne son prénom et laisser sa mère deviner seule : "Tu parles de Reese ? - Oui." Puis tu enchaînes : [Je joue avec le contenu de mon Tupperware.] Puis reprise de la réplique de la mère : "— C’est vrai qu’il avait l’air un peu blabla..."