C'est exactement ce que je disais 🤣

Pour moi, il faut un tout petit peu revoir la fin du chapitre, dégager les mentions du style : "je ne sais pas faire ce que tu me demandes, maman." et enlever la réplique suivante de la mère. Il faut rester sur un "je ne veux pas, c'est trop fatiguant", sinon la fin - avec le piège de la mère - n'a pas de sens, puisque là il reconnait lui même qu'il ne sait pas faire (donc qu'il est incapable). Il faut présenter ça comme de la paresse stricte, tout en veillant à maintenir l'effet fatiguant du bruit. Ah, et aussi quand il dit que sa mère est combative et motivée, au final là c'est surtout son orgueil à lui qui le rend combatif, il a envie de lui montrer ce qu'il vaut, qu'il n'est pas faible.

il vient de lui dire le contraire "je ne sais pas" - dans ce cas il faut t'en tenir au "je ne veux pas"

en fait SI le brui c'est le bruit. J'ai une copine (non autiste) qui souffre d'hyperacousie, c'est pas un luxe le silence.

et ça ne le dérange pas de parler la bouche pleine ?

alors quoi ?

Ce serait peut-être bien d'insister sur le Reese = bruyant (puisque Reese = bavard)

Dans le cas présent, Reese parle beaucoup, ce n'est pas spécifiquement fatigant pour une personne avec un TSA (sauf si elle est sensible au bruit). Ce qui est usant avec la "sociabilisation" c'est l'effort intellectuel nécessaire pour savoir comment parler et quoi dire à quel moment, c'est pas automatique comme pour un neurotypique. + le stress que ça génère d'appréhender comment va réagir la personne en face (est-ce qu'elle va se vexer, s'énerver ?) Comme là ils sont au travail, ça ne devrait pas autant fatiguer Zach puisqu'il lui donne des consignes dans un environnement connu, c'est normatif. Ce qui va être plus compliqué c'est le badinage, les politesses, gérer le non verbal, etc.