Très bon passage encore une fois. On sent qu’on est monté d’un cran dans la maîtrise. Le duo Perruche/Még fonctionne à merveille, c’est fluide, rythmé, drôle sans jamais perdre en profondeur. Leur relation est super bien construite, à la fois rugueuse et tendre. J’ai adoré les dialogues, les chamailleries du matin, les surnoms miroir, et surtout cette tension douce qui flotte entre elles. Il y a quelque chose de plus intime qui se glisse peu à peu, mais sans jamais forcer. Le décor de la base est bien posé, avec juste ce qu’il faut de détails pour qu’on visualise tout sans être noyé. Mention spéciale pour l’univers suspendu en cordes : hyper visuel et original. Et ce “chant des dunes” en fin de scène… magnifique idée. Poétique et inquiétant à la fois, ça donne vraiment une ambiance unique.

Mais quel délice ce chapitre! Je maintiens ce que j'ai dit, plume aiguisée mais qui sait être subtile. Et ce décor, wow. J'ai l'impression d'y être. J'ai vu le parallèle avec Dune dans les commentaires et je confirme, il y a un peu de ça... mais je visualise surtout l'Attaque des Titans avec cette ambiance de soldats derniers survivant de l'humanité... qui reste des jeunes avec leur humour un peu bête et rebel. J'adore. J'adore !

La fin est douce, très poétique ! J'ai hâte d'en apprendre plus sur ces dunes. On comprend bien vite le type de vie dans la caserne, et les deux premiers chapitres nous mettent dans l'ambiance.

J aimerais entendre ces chants 😍 toujours aussi bien écrits 🤩