L’ambiance reste lourde, avec la solitude et les crampes de Jenny qui pèsent, mais l’arrivée de Paul apporte une lueur d’espoir et de chaleur humaine. Les détails, comme l’odeur de la maison ou les volets rouillés, renforcent l’immersion dans ce décor de 1940, marqué par la précarité. La lettre de Mary, toujours en toile de fond, maintient le mystère sur le passé de Jenny. Pour enrichir, je suggérerais d’ajouter un petit indice sur ce qui la hante (une pensée fugace, un objet dans la maison) pour approfondir son histoire. Peut-être aussi décrire un peu plus Paul (son allure, un tic) pour le rendre plus vivant. C’est super émouvant, continue, on veut savoir la suite !

A jour, et merci de ton soutien 😉😊

Coucou, je suis passée en soutient, belle journée. 🫶🏻

J'ajoute ton histoire à ma liste de lecture, n'hésite pas à venir jeter un coup d'oeil à la mienne "Ô quetzal, ô quetzal", qui porte sur la liberté, je suis friande de retours et de commentaires :)

À jour ❤️

Like de soutien en attendant de revenir te lire ! Merci pour ton passage chez moi, un nouveau chapitre vient de se débloquer 😊