Une très chouette intro, bravo ! On est avec elle, on ressent sa désorientation et sa souffrance, tant les descriptions de l'environnement que de ses sensations sont très réussies ! J'ai relevé des petits bazars triviaux dans le texte, je ne sais pas où tu en es dans ta rédaction, mais j'ai trouvé ce début vraiment très réussi. Bête pinaillage : sauter des lignes entre les paragraphes, si tu as l'espace de le faire, aiderait pas mal à la lecture, à mon avis, parce que c'est quand même assez dense.

Le texte nous plonge direct dans une souffrance crue, sans filtre. On ressent tout. C’est dur, maisefficace. Ce qui frappe aussi, c’est le contraste entre la violence de ce que vit la narratrice et sa manière un peu innocente de le raconter — on sent encore l’enfant derrière les mots. Par contre, certaines phrases font un peu tiquer. Par exemple : "Il a baissé sur moi un regard de prédateur assoiffé" Ça sonne très adulte, très lucide, peut-être trop pour une petite fille de six ans. Du coup, on ne sait plus trop si c’est une enfant qui parle ou une adulte qui repense à son passé. Enfin, il y a des formules un peu répétitives, comme : "je n’étais qu’une chose que l’on poussait, que l’on tirait, que l’on trainait"

Coucou, magnifique et dur à la fois ce prologue. J'attends la suite ! Bienvenue dans le concours, je t'attendais ! ☺️

C’est cru, bouleversant, et pourtant d’une beauté tragique qui transperce. Cette voix d’enfant brisée, ce regard lucide et déjà abîmé… On sent chaque goutte de sel, chaque silence. Et cette fin… glaçante, forte, inoubliable. 🥹💕