J'adore ce chapitre qui nous fait presque comme une pause dans ton histoire... un interlude sur fond d'opéra ! Je te l'ai déjà dit, mais je vais me répéter : j'adore le fait de lire des PDV "imprévus" et je trouve que celui de Tino ici est à la fois tendre et passionné. Tendre, car on y découvre malgré tout des blessures profondes de Tino. Même s'il ne le dit pas de façon franche et tranchée, on sent que les choix professionnels qu'il a fait ont eu des répercussions importantes sur sa vie personnelles. Même s'il ne regrette rien, on comprend un peu mieux pourquoi il est si paternel avec Aurore et Benoit. Et je trouve cela vraiment bien de le poser ici. Passionné, ensuite, car la façon dont Tino nous parle d'opéra nous donne presque envie d'en écouter nous-même ! D'ailleurs, je trouve les mots et références si bien choisis que je ne serai pas étonnée que tu nous dises que, toi-même, tu es passionné de cela ! Je te remercie donc de m'avoir fait découvrir un bout de cette passion... j'avoue ne pas l'avoir moi-même, mais ta façon d'en parler à creuser ma curiosité !

Effectivement, Tino n'a pas connu la femme qui accepte sa vie et son métier. Il se réfugie dans la musique qui lui sert de compagnes et a des employés qui lui servent d'enfants de substitution. J'ai moi même la passion de l'opéra et l'ai transmise avec plaisir à mon personnage. Heureux que ce chapitre parenthèse ait su te plaire.

et rien n'est plus important que la santé ! tu as eu raison, Tino, de te préserver !

c'est même presque tôt pour une fin de service, non ?

Aurore et Benoit font la fermeture. Ils ont du servir de 19 à 22 h.

je te l'ai déjà dit, mais j'aime beaucoup avoir plein de PDV différents dans cette histoire !!!

Merci c'est ce que j'aime beaucoup faire.