Oh sur la fin on bifurque sur une conversation WTF ! Bien ce retour en arrière, pas trop de détails, mais au moins une vision claire sur le malaise qu'elle ressent. Léandre a le profil du gars qui pourra l'aider à sortir de ce trauma, il semble à l'écoute et pas auto-centré du tout.

Faut bien désamorcer un peu le ptit coup de tension préalable :') je savais pas trop comment allait être perçu ce passage, trop court/trop long, pas assez immersif/trop, mais qu'on puisse comprendre le trauma qu'a vécu Tiph à l'époque est nécessaire pour mieux appréhender la suite, donc c'est cool que tu aies trouvé ça correctement ficelé :D

Oh misère, cette phrase me tue. XD

"Oui oui, Lulu, c'est... c'est bien" :')

Merci à toi pour ce commentaire sur la justesse du moment ; j'avoue que j'étais pas vraiment sereine à l'écriture, je ne savais pas comment ça allait être perçu. Trop, pas assez? Si ça sonne réaliste sans être trash, tant mieux, c'est ce que je voulais faire passer. C'est grave et ça a marqué Tiphaine, mais comme dirait l'autre, ça ne la définit pas et elle essaye de passer à autre chose, même si la crainte reste un peu sous-jacente.

Ces souvenirs sont à la fois violents et pudiques. Tu arrives à raconter des évènements affreux, à nous montrer leurs conséquences encore aujourd'hui, sans qu'on s'apitoie non plus sur elle. On a envie, comme son amie, de lui faire un câlin, de lui dire que tout ira bien. Parce que oui, tout ira bien 💛

Ton commentaire me touche beaucoup ; sans mentir, j'étais un peu anxieuse à l'idée de partager ce passage parce que je ne savais pas comment il allait être perçu. C'est assez grave pour toucher, mais je ne voulais surtout pas tomber dans le pathos non plus. Que tu aies trouvé ça juste me rassure beaucoup ; comme on a effectivement envie de dire à Tiphaine que ça va aller <3

Merci infiniment ! :D