Le père voit bien qu'il y a un souci et laisse ses fils s'énervent l'un l'autre. Je ne comprends pas pourquoi il attends d'être dos au mur pour en parler. Après pourquoi Calev ne dit rien sur Werner ? Parce qu'il est homosexuel et que ça serait bizarre qu'il soit au courant ?

Bon, me voilà de retour pour découvrir ce qu'il advient de Calev. Je trouve toujours ton écriture très fluide. D'autant plus quand dans ce chapitre on en apprend plus sur les raisons qui ont poussé ses parents à l'isoler. On comprend mieux cet instinct rebelle qu'il semble entretenir. En tout cas, ça nous amène à nous poser plus de questions. Surtout concernant Yakim. Je me pose des questions sur lui... Et sur le soldat également bien sûr. :)

Il me semble qu'il manque un truc ici. Surement une faute d'inattention. :)

Celui-ci pourrait être remplacé par "pourtant" d'autant plus que tu aurais une répétition du "mais" en moins. :)

ça me perturbe tellement qu'à chaque fois, ou presque, il nous donne son nom complet. ^^' Je ne sais pas si c'est que moi, mais peut-être pourrais-tu seulement nous l'identifier avec son prénom ? Non ? Parce qu'à force, on comprend de qui il parle même s'il ne sont pas super proches. :)

Ce chapitre est très bon ! Je ne m'attendais pas aux révélations du père et j'ai presque cru qu'il allait avouer son homosexualité à celui-ci d'ailleurs (mais ça aurait sans doute été un peu gros, j'imagine 🤣) Par contre, j'avoue qu'il y a un détail qui me chiffonne : Calev dit à son père qu'il trouve son frère beaucoup trop imprudent, qu'il pense même qu'il est prêt à faire quelque chose de stupide, et seulement quelques lignes plus loin, demande à son père de l'intégrer plus aux opérations... J'avoue que c'est assez surprenant, parce que ce serait se tirer une balle dans le pied, si Yakim est effectivement une sorte de bombe à retardement.

C'est horrible, mais vrai... La mort de certains nécessaire pour les autres de vivre plus confortablement.

Je pense que tu pourrais t'arrêter là. Faire une description de Calev et de son père, comment ils se regardent par cet échange très personnel, etc. Puis, après reprendre ce que dit le père avec le SS. Comme ça, ça montrerait bien la coupure ;)

Je mettrais plutôt "Sachez que chacun de mes gestes et chacune de mes paroles sont mûrement réfléchis. Rien est anodin" ou " Sachez que chacun de mes gestes et chacune de mes paroles ne sont anodins." Bref, je pense que tu vois l'idée ;)