Raëlfar Paragraphe 175 22 novembre 1942 (2ème partie)

22 novembre 1942 (2ème partie)

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37

37 commentaires

Nascana

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Il y a 4 ans

J'aime bien le dialogue entre les deux frères, c'est tellement vrai : l'aîné à l'impression de devoir tout faire et le cadet que personne ne s'intéresse à lui. Par contre, je ne comprends pas trop pourquoi il dit qu'il veut faire une révolte pour tenter de s'échapper.

Alec Krynn

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Il y a 4 ans

Ah j'aime bien ce dialogue avec son frère. Pour l'instant il était un personnage en second plan et là tu lui donne de l'importance en nous en apprenant plus sur lui et sur leur relation.

Little-Lilah

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Il y a 4 ans

Pour être la dernière de la famille et celle que l'on écoute le moins comparé à mes deux frères, je me suis mise à la place de Yakim avec une immense facilité. Les choses ne doivent pas être faciles pour lui non plus et il cherche apparemment à faire ses preuves, ce qui est louable, d'une certaine manière ! J'avais envie de secouer Calev pour qu'il l'écoute un peu plus 🤣 Après il doit avoir ses raisons et certainement que les choses seront différentes dans le futur, mais j'ai quand même pitié pour Yakim 🙈

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Posé, suffirait ici, je pense. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Attention avec les deux points. Tu les utilises souvent et ils ne sont pas toujours utiles. Par exemple là, pour ta première phrase, tu pourrais tout simplement la séparer en deux. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Je trouve l'idée de Roseline pour ce passage plus adaptée. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Ici, j'ai l'impression qu'il nous manque quelque chose. Une informe qui nous explique comment ils sont arrivés d'une position à une autre. Même s'il ne s'est rien passé pendant se laps de temps, il est nécessaire de nous indiquer qu'ils sont retourner sur leur couchette. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Je rejoins Roseline sur le fait que cette phrase nous est directement adressée, alors que depuis le début Calev se parle à lui-même. D'ailleurs, ça nous sort un peu de la lecture. Par exemple : C'est du suicide, j'en suis conscient. Enfin... C'est une idée. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Le "c'est déjà ça" me semble peu convenir pour le langage de ton personnage. Car depuis le début, il a quand même une certain dose d'humanité dans tout ce qu'il dit, et là, je trouve que cette expression le rend moins humain. Comme si c'était une banalité de voir des morts. Alors que pour le moment, il n'est qu'au prémisse de son enfermement... Il serait peut-être plus adapté de reformuler cette phrase, tout en en gardant l'idée, parce qu'on comprend que c'est assez rare du fait de leur condition de travail, pour le personnage est le besoin de nous le notifier. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire. ^^" Par exemple : Le point positif de cette journée, pas de mort ni de blessé à porter. Bien que je suis certaine que tu trouveras une bien meilleure formulation que celle-ci. :)

Marie Smt

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Il y a 4 ans

De manière globale, c'est un chapitre intéressant parce qu'il permet d'explorer la psychologie de Calev et de Yakim et que la fin permet d'esquisser une sous-intrigue possible concernant le jeune frère. Pour ces raisons, je pense que ton chapitre pourrait encore gagner en puissance si tu rajoutais des détails encore plus précis sur les deux frères (un souvenir d'enfance, par exemple ?) et si tu affinais tes analyses de la psychologie des personnages (par exemple avec les précisions de la "maladie" de Calev comme je te l'ai déjà dit dans l'un de mes précédents commentaires, ou en détaillant d'autres indices plus subtiles qui ont amené Calev à penser que son frère était amoureux de sa fiancée).