Raëlfar Paragraphe 175 22 novembre 1942 (1ère partie)

22 novembre 1942 (1ère partie)

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24 commentaires

Nascana

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Il y a 4 ans

Pas forcément une bonne idée de tenir tête à son bourreau. Après, je me demande s'il a été choisi parce qu'il le regarde dans les yeux ou si de toute façon, il aurait été choisi. Tu décris bien les conditions de vie inhumaines.

Nascana

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Il y a 4 ans

"espèce"

Alec Krynn

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Il y a 4 ans

J'aime bien ce courage qu'à Caleb de tenir tête comme cela à son bourreau même si c'est dangereux. Un jeu s'installe entre eux, ça donne envie de poursuivre 😊

Little-Lilah

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Il y a 4 ans

Ça me fait énormément penser au film "Invincible" qui est une vraie leçon de vie ! L'homme enfermé dans un camp a une relation étrange avec son bourreau, ils se défient sans arrêt, se jaugent du regard et l'autre prend un malin plaisir à vouloir faire craquer son prisonnier. Par tous les moyens possibles, d'ailleurs. Si tu le l'a pas déjà vu, je te le conseille à 100%, parce que les acteurs sont purement géniaux et j'ai même eu du mal à croire qu'un homme a réellement eu un tel courage et une telle envie de vivre malgré les horreur qu'on lui a fait subir pendant des mois et des mois !

Little-Lilah

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Il y a 4 ans

J'aurais ajouté un "puis" ou un mot de transition du genre, parce que j'ai cru que c'était la continuité de la liste que tu a faite un peu plus tôt et du coup, ça m'a perdue pendant un instant 🤣

Little-Lilah

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Il y a 4 ans

Je ne comprends pas le "y". Je sais que certaines personnes ne disent pas "ils" mais dans ce cas là il faudrait que ce soir pareil dans la phrase qui suit celle-ci, non ? :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Au fur et à mesure de tes chapitres, on voit les choses se mettre en place. Tout se profilent de telle manière que nous sommes embarqués aux côtés de ces pauvres hommes. Pourtant, on a toujours ce petit côté rebelle qui nous aide à apprécier au mieux le récit, surtout grâce au point de vue de Calev. A cette volonté qu'il a de vouloir vivre. Toujours aussi fluide, et juste, ton texte avance tout en nous guidant, on nous laissant entrevoir une multitude de possibilités, et également une légère crainte. Parce que si nous voyons Calev comme quelqu'un de presque invincible, nous sentons toutefois que tout ce qu'il voir, tous ces éléments auxquels il assiste, se grave dans sa mémoire. En tout cas, tes chapitres, nous donne toujours envie d'en savoir plus. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Petite question : pourquoi est-ce que répète toujours son nom et prénom au complet ? Ne pourrais-tu pas simplifier ça ? Ou est-ce un choix ? :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Je me doute que c'est difficile, mais tu répètes souvent le verbe "choquer". Il faudrait que tu essaies d'en trouver plusieurs synonymes pour te permettre de jongler entre eux, et rendre ton chapitre encore plus fluide. :)

Marie Smt

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Il y a 4 ans

On sent que tu as particulièrement travaillé ce chapitre, qui est très fluide. J'attire seulement ton attention sur quelques répétitions (le mot "indiquer" revient deux fois au début) ainsi que sur le rythme de certaines phrases un peu lourdes ou qui manquent de ponctuation (par exemple "non seulement nous nous retrouvions tout au-dessus mais en outre nous étions du bon côté de la chambrée."), mais c'est plutôt pour pinailler. N'hésite pas non plus à rajouter plus de descriptions sur leur baraque ou sur le travail que fait Calev à l'atelier de serrurerie.