Dur moment pour lui. On l'impression qu'il enferme ce qu'il est pour ne laisser que la mauvaise partie de lui. Peut-être pour mieux résister.

Le pauvre. J'ai vraiment énormément de peine pour lui ! Vivre ça devait être absolument horrible, tant pour les femmes que pour les hommes ! Par contre, j'aurais bien aimé avoir la description de son corps qui doit être pas mal abîmé après les séances de tortures (vu qu'il doit être nu, ses blessures auraient été à la vue de tous, et aurait eu un impact supplémentaire, je pense ?). Aussi, il n'a pas eu droit au tatouage ? À moins que j'ai loupé un passage, mais les personnes arrivant au camps n'étaient pas censée se faire tatouer le bras (ou le torse, ou le front...) directement en arrivant ?

Cette phrase seule me colle des frissons d'horreur dès que je la lis...

Comme pour les précédents chapitres, je trouve qu'on plonge très vite dans le récit. On est embarqué dans la situation. On en éprouve presque les sentiments de Calev, tout en nous transformant nous aussi. De plus, ton récit avance en douceur si je puis dire, le tout en nous donnant des informations essentiels à cette période que tu as choisi de nous décrire. Vraiment, le réalisme de ton récit est parfois percutant, nous donnant envie de les sortir de là. :)

Pour moi, ce "facilement" ne t'est pas forcément utile ici. Je trouve qu'il alourdit ta phrase. :)

Attention, tu as déjà utilisé "en effet" dans ce paragraphe. Il faudrait que tu lui trouves une autre ouverture pour cette phrase. :)

petite faute d'inattention, "doute". :)

J'aurais mis cette phrase à part. Entre deux paragraphe, pour la rendre vraiment unique, montrer son impact sur la suite du récit, montrer que c'est l'élément qui va bouleverser la vision de Calev sur la suite des événements. :)