Raëlfar Paragraphe 175 21 novembre 1942 (1ère partie)

21 novembre 1942 (1ère partie)

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35 commentaires

Nascana

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Il y a 4 ans

J'avoue que je comprends pas la scène de l’entrepôt. On a presque l'impression qu'elle n'apporte rien alors que cela pourrait être un passage important.Là,on dirait qu'ils font une promenade. Tu pourrais accentuer sur l'impression d'être épier pendant toute la visite. La peur de laisser passer une émotion. Pour l'entrée dans le camps, je me demande quelle information, il a sur l'officier.

Alec Krynn

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Il y a 4 ans

Tes descriptions sont toujours bien menées, on arrive très bien à s'imaginer les choses.

Little-Lilah

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Il y a 4 ans

Coucou binôme ! J'avais stoppé ma lecture au chapitre d'avant mais viens de tout relire pour me remettre les premiers chapitres en mémoire. Bon, les petites coquilles ont déjà été pointées donc inutile pour moi de recommencer :) J'aime beaucoup ta plume, qui est fluide et qui nous emmène directement là où tu veux que l'on soit. Après, cette histoire pour le moment, n'est tout simplement pas du genre que moi, j'apprécie. Je ne suis pas une grande fan de violence, et même si je sais que c'est nécessaire, c'était dur pour moi de lire. (bien sûr, ce n'est pas contre toi, ou contre ton roman, au contraire : ce sont simplement mes goûts. J'aspire à quelque chose de plus léger et ne supporte pas les tortures de ce genre, surtout sur plusieurs chapitres d'affilé. J'ai l'impression de ne pas avoir le temps de respirer entre deux séances de tortures.). Mais je vais tout de même continuer, of course, et rester objective en mettant de côté ce que moi je ressent par rapport aux scènes de violence 😊

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Hey ! Je reviens comme prévu pour la lecture de 5 de tes chapitres. Et ça me fait plaisir de replonger dans ton récit, bien que plaisir ne s'accorde pas vraiment avec les événements que tu nous décris ici. Ton écriture semble toujours aussi juste, fluide, elle nous permet d'être aux côtés de Calev sans s'en rendre compte. On vit ce qu'il vit, ressent ce qu'il ressent tout en nous demandant comment il va réussir à se sortir de cette situation, et si vraiment il a une chance de s'échapper d'un tel endroit. Certes, il vient d'y arriver et la suite nous promet plus de tortures, des désillusions, de rancœurs, et surement d'un peu d'espoir. Parce que sans lui, nous n'aurions plus vraiment l'envie d'avancer, j'ai eu l'impression que tu posais-là les prémices d'une relation entre le gardes et Calev, tout en nous montrant bien la férocité de chacun. Oui, chacun parce qu'à mon sens, le caractère de Calev est une force, et sa détermination peut le mener à être féroce. Enfin, à part le petit détail du début, sur lequel j'aurais aimé plus de contexte, dans l'ensemble ton chapitre permet à l'intrigue d'avancer, tout en nous faisant bien prendre conscience de l'évolution de la situation. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

la vingtaine. Serait mieux, je pense. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Je trouve que "au niveau" fait perdre un peu de force à ta phrase. Peut-être pourrais-tu remplacer cet élément par, "Il a un petit rictus collé à sa bouche/ à ses lèvres." Enfin... ça reste une idée. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Attention ici, tu as une répétition dans une même phrase. Peut-être peux-tu retirer le second regard. Je pense que ça appuierait plus encore sur le fait que le regard de l'officier est glacial et hautain. "Je croise alors le regard d'un officier, glacial et hautain." Quand dis-tu ? :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Ce "seul" là me semble inutile, d'autant plus que tu as une répétition de mot juste avant. Et si tu le retires de ta phrase, ça n'enlève rien au sens de celle-ci. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Bon, il me semble qu'on te l'a déjà signalé, mais tu pourrais trouver une notre formulation pour ce début de phrase, par exemple : j'ouvre difficilement les yeux, revenant au présent... Enfin, c'est une idée parmi d'autres. :)

Sandra MALMERA

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Il y a 4 ans

Je trouve que cette partie est arrivée trop vite. On ne perçoit pas assez le lien entre ses pieds et la décharge électrique juste avant. Peut-être pourrais-tu ajouter une ou deux phrases pour y décrire ses tortionnaires lui attraper les jambes, tirer sur ses pieds pour ensuite venir les lui entailler. En fait, y mettre un peu plus de contexte et de descriptions. :)