L’amitié entre Mayer et le narrateur sonne juste : les blagues, les piques, ça sent le vrai pote de longue date. Et l’arrivée de Guill, on le sent, va tout bousculer. Même si le texte parle de trucs sérieux comme la détresse mentale, ça reste léger grâce à l’humour. Par contre, c’est très centré sur ce que pense ou dit le narrateur, du coup on a du mal à imaginer où ils sont exactement. On ne sait pas trop à quoi ressemble l’appart, la soirée, la ville autour… Et puis certains passages tournent un peu en boucle, surtout autour du surnom "Mimiles" et des blagues de Mayer ; c’est drôle au début, mais ça traîne un peu.

Azalée qui raccroche direct et Miles qui comprend pas la vraie raison, on sent la merde qui va arriver ^^