JulieDauge La lutte 3 - Aliénor

3 - Aliénor

Tu as aimé ce chapitre ?

16

16 commentaires

Elina_kever

-

Il y a 11 heures

Jean Eudes est vraiment l’archétype même du type blindé qui se croit tout permis parce qu’il en a les moyens, autrement dit : le genre de personne que je déteste 😭 je ne sais pas si je suis contente que Ali prenne ce poste pour lui priver sa valeur, ou si elle aurait juste dû faire une lettre pour avoir le post pour lequel elle avait tant sacrifié… je suis un peu mitigée ahaha En tout cas j’aime toujours autant ta plume fluide, ça se lit comme du petit pain

Marie41

-

Il y a 20 heures

Un bon point pour Aliénor, cependant, je penche pour qu'elle ait quelque chose en tête. En tout cas, je deviens vite accro à ton histoire. Moi, qui ait fait un blocage de la lecture, ça fait du bien de lire cette histoire 😍😊

JulieDauge

-

Il y a 13 heures

Contente que ça te plaise 😊

liaflandey

-

Il y a 9 jours

On espère pour elle que tout ira bien… ou pas ! Torturer et malmener un peu nos protas fait partie du jeu 🤣 Ce chapitre a un ton comique qui met toujours plus en relief les deux amies, c’est agréable et léger. Pour Jean-Eudes, il prend sa revanche 🤣

JulieDauge

-

Il y a 9 jours

Les torturer, c'est notre plaisir sadique 😈

Roumet Sébastien

-

Il y a 11 jours

Il est des chapitres qui, sous couvert d’une apparente simplicité narrative, se révèlent être de véritables petits laboratoires psychologiques ; le troisième opus de cette histoire appartient indéniablement à cette catégorie. L’on y voit se cristalliser, avec une acuité que l’on devine presque douloureuse pour l’héroïne, l’instant où le réel, abrupt et sans fard, vient frapper à la porte de son ambition naissante. La scène inaugurale — cette confrontation presque muette entre Aliénor et l’écran implacable de son téléphone — possède une qualité remarquablement cinétique : les mots ne changent pas, certes, mais c’est l’univers intérieur de la protagoniste qui se fissure sous nos yeux. Le lecteur, soudain, se trouve entraîné dans un mouvement de déstabilisation où s’entremêlent surprise, déni et un instinct de survie légèrement désabusé. L’on croirait assister au dérèglement d’un engrenage trop longtemps maintenu sous tension. Le dialogue avec Six, quant à lui, ne doit pas être lu avec la naïveté d’une simple joute amicale : il constitue un contrepoint presque socratique à la stupeur d’Aliénor. L’amie fidèle joue tour à tour les Cassandre exaspérées, les stratèges indignées, les moralistes désemparées — autant de masques qui, paradoxalement, éclairent davantage le trouble d’Aliénor qu’ils ne le dissipent. On notera, non sans amusement, que l’humour sert ici de pansement fragile posé sur une plaie encore béante. L’apparition spectrale — quoique fort tangible — de Jean-Eudes marque le pivot dramatique de ce chapitre. Il n’est pas tant personnage qu’incarnation du ressentiment social et du népotisme triomphant. Sa simple présence suffit à faire basculer l’atmosphère dans une forme de clair-obscur émotionnel. Le lecteur perçoit immédiatement que l’enjeu dépasse la simple affectation administrative ; c’est une bataille symbolique, un duel presque feutré où se joue la légitimité même d’Aliénor. Lorsque, finalement, l’héroïne accepte ce que l’on pourrait qualifier d’« épreuve initiatique » — prendre la direction du port de Marseille, dans une posture défiant à la fois la logique, la prudence et le bon sens institutionnel —, c’est toute sa trajectoire qui se redessine. Sa résolution, presque héroïque dans son inconscience, confère à cette fin de chapitre des accents prométhéens : elle choisit non seulement de porter le fardeau qu’on lui impose, mais de le brandir comme un étendard. En somme, ce chapitre 3, sous les dehors d’une simple succession d’événements administratifs, compose un portrait psychologique d’une finesse inattendue. Il met en lumière ce moment rare où une héroïne cesse d’être seulement victime des circonstances pour devenir, malgré elle, l’artisan d’une destinée qu’elle n’a pas choisie — et c’est précisément là que réside sa force narrative la plus éloquente.

Sandramanuela

-

Il y a 12 jours

Oulalala, la petite Aliènor a un petit caractère bien trempé qui me plaît beaucoup et qui promet des belles réparties.

JulieDauge

-

Il y a 11 jours

Oui, elle va pas avoir sa langue dans sa poche (comme à peu près toutes mes héroïnes d’ailleurs 🤣)

Bettina Dumon

-

Il y a 12 jours

Je commence à apprécier Aliénor, elle ne se défile pas et a du caractère.

JulieDauge

-

Il y a 12 jours

je suis contente qu'elle te plaise :)