Jean-Marc-Nicolas.G Lettres à Éva Dieu nous a épargné.

Dieu nous a épargné.

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9 commentaires

Rose Lb

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Il y a 4 ans

bizarrement, malgré la situation "pestilentielle", ce chapitre me fait du bien, dans cet absurde l'humour persiste.

Rose Lb

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Il y a 4 ans

je supprimerais

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui il est en trop dans la lecture, sauf si l'on admet que c'est la façon du capitaine de parler ainsi. Mais dans l'absolu, c'est en trop.

Rose Lb

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Il y a 4 ans

j'aurais mis habite leur regard pour appuyer l'intensité, à voir...

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Surtout pas, "Habite le regard", c'est bien, mais courant par contre "trouble le regard", le regard troublé par le peur, là, est toute l'intensité de la phrase. On a peur, mais on se retient de le montrer, pourtant à bien y regarder, il y a un trouble. je veux dire, quelque chose d'à peine perceptible. Alors que 'la peur habite leur regard" est trop évident et expression également beaucoup usité. Neuf écrivains sur dix seraient tombés dans la facilité en écrivant cette phrase ..."banale" mais Chuuut🤐🤫😃😉. Tu sais, j’écris surtout avec mes tripes, avec tout mon cœur, en l’occurrence comme je le ressent très sincèrement, les termes utilisés sont trop importants pour qu'ils aient été mis là seulement par hasard. Mais merci de me suivre, tes commentaires sont touchants.Pour le reste ce ne sont après tout que des ressentis différents selon la sensibilité de chacun d'entre nous. Si nous écrivions tous de la même manière, alors il suffirais d'en lire qu'un pour les avoir tous lus. Fort heureusement ce n'est pas le cas. Tu sais qu'il y a des textes dont je ne dépasse pas le premier paragraphe tellement c'est imbuvable?Parfois c'est bien écris mais c'est plat, parfois, il y a de bonnes idées, mais c'est bourré de fautes de toute sorte. Enfin il y a le texte , quand j'ai la chance ou le temps d'y tombé dessus. Et là, c'est dramatique voir impardonnable pour moi de ne pas avoir pu y passer avant, je m'en veux, je ne parles pas des personnes comme toi, tu es connue, je sais comment tu vas narrer, je connais ta patte d'écriture,c'est toujours très bien expliqué, bien aéré, ça glisse tout seul, voila le mot, ça glisse, ça se lis comme on bois du petit lait, on sait que l'on peut y aller, que l'on ne sera pas déçu, on rentre vite dans l'histoire, on y est dedans, on l'habite. Je parle des inconnus qui seraient passés à coté de mon attention et là, je m'en veux un peu. Bon je vais attendre ce que Antoine va nous faire, bien que je m'y attende un peu sauf rebondissement de dernière minute, attendons. A bientôt, je vais me prendre mon thé russian grey avec du citron et un morceau de brioche que m'a faite ma compagne.Et toi t'a pas de cette magnifique brioche dont la pâte a aérée huit heures.

Rose Lb

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Il y a 4 ans

ça me renvoie à de souvenirs lorsque mon grand-père parlait...

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui tout à fait. Boudiou, de putain de merde de sacripant, 😁

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Encore une fois ça pète de tous les côtés et sous Elisabeth je me planquais sous la couette terrorisée😂🤣et là c'est sous la couette d'effroi, je vois tous les membres en puzzle et ça quitte plus ma tête😱j'en aurais perdu la boule comme certain d'ailleurs qui en sont revenus avec des peurs morbides🤯Décidemment la lecture devient de plus en plus corsée, je m'attendris ? Non je m'ensevelie dans ton texte, je suis dans les tranchées, je suis les tranchées😅Sacré supercalifragilisticexpialidocious écrit😉

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Je suistoutafaitdaccordavectoiçacestsur. Hips!🤪😵🥴😵🥳🤢trop bu. Mon but c'est d’entraîner mes lecteurtrices dans mon monde, pour cela il est nécessaire que vous ressentiez, mon récit, enfin pas de trop prêt quand même pour les odeurs.La suite vas te surprendre, enfin tu verras(j'avais oublié le R dans surprendre, ce qui faisait surprendre) JMNG par en C...cascade. Bon je vais continuer ma suite des "Anachorètes" une jeune inspectrice qui tombe dans un champ de réalité parallèle alors qu'elle est à la poursuite de deux terribles (enleveurs) de jeunes filles auxquelles ils leur font subir les pires atrocités dans un manoir en Sologne au milieu des marécages qui apparat dans notre plan de conscience que quelques heures, le temps de le enlever avant que la maison ne disparaisse à nouveau de la vision de ce monde, sauf qu'à un moment donné, la jeune inspectrice à leur poursuite se retrouve prisonnière un temps dans le monde Noir des Anachorètes! Je me régale, c'est l'horreur, l'épouvante même. Bon je te quitte, j'y vais, ah au faît, laisse une commission à Elisabeth, qu'elle rentre à la maison, elle s'est suffisamment amusée chez toi.