ce chapitre est intense, dans le sens où l'on sent leur douleur à tous les deux. Mais des petites choses me dérangent... déjà Zak parle de "notre enfant", puis il dit qu'il ne peut pas l'appeler "son fils", qu'elle lui a ôté ce droit, avant de s'inquiéter quand même de savoir où il est... On sent qu'il est perdu, qu'il ne sait pas se situer par rapport à cet enfant qui lui est "imposé" aujourd'hui, mais qui a aussi, quelque part, été le déclencheur du départ d'Orlane... il éprouve certainement tout à la fois de l'amour et aussi un peu de rejet pour lui pour toutes ces raisons, peut-être les exprimer davantage dans ses paroles ? ses gestes ?

Ensuite, Orlane... Au départ, elle est recroquevillée sur son lit, puis se redresse pour lui faire face et lui asséner une réplique bien corsée, qui laisse penser qu'elle est forte, et l'instant d'après (sans vraiment de transition) s'écroule au sol... C'est assez perturbant à lire ainsi... cependant, je pense qu'il te manque juste des phrases, des indices de la scène, pour rendre tout cela plus visuel, plus crédible... Par contre, la scène de théâtralisation de Zak est vraiment bien décrite... tu vois, quand tu passes par moult détails, on est vraiment plus dedans. ça manque un peu dans le reste de la scène...

tu dis juste avant qu'il ne prend pas la peine de se tourner vers elle