Ce que je disais sur ta capacité à rendre vivantes des scènes simples est encore plus vrai ici. On attend avec Elian, on souffre avec lui. Et on comprend vraiment à quel point il a besoin de Lyra, ce qui ajoute encore de l'intérêt à leur relation. Un passage magnifique, sincèrement.

J’ai volontairement attendu avant de lire, juste pour savourer pleinement… et je ne regrette pas. Ce chapitre m’a complètement happée. La solitude d’Elian, tu ne te contentes pas de la décrire, tu la rends tangible. Je l’ai ressentie dans chaque silence, chaque battement trop fort, chaque ombre qui s’étire. Tes descriptions sont si riches qu’elles se gravent dans la mémoire comme des images réelles, presque palpables. J’avais l’impression d’être là, dans cette pièce, à guetter un bruit, à sentir la chaleur des bougies, à voir l’ombre gagner du terrain. Et quand la fin est arrivée, il me restait ce goût mélancolique et cette impression d’avoir partagé un moment de solitude suspendu avec lui. C’est beau, intense, et ça laisse un écho qui dure bien après la dernière phrase.

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