Le place des murmures est super bien trouvée, et ils sont amenés progressivement jusqu'à ce qu'on sente qu'ils sont essentiels. Le côté bureaucratique de la profession est chouette à lire, on sent tout le worldbuilding qu'il y a eu ; t'as réfléchi à ces métiers et à leurs organisations internes et offre au lecteur les informations dont il a besoin, quand il a besoin. Puis, le repos forcé d'Elian amène quelque chose à ce personnage dans le sens où son objectif devient plus puissant (que sa vie ?).

Ce murmure, comme un ancien "contrat" qui vient le hanter, c'est génial comme idée. On entre encore plus dans ton monde, et la Confrérie semble regorger de problèmes éthiques. J'aime beaucoup. Autant au début je me disais que le rythme pouvait aller plus vite, autant au fil de la lecture je le trouve adapté.

Le contraste entre l'employée est d'un froid presque chirurgical. Mais ce contraste je trouve est vraiment pertinent avec l'état d'Elian : qui s'accroche désespérément à sa fonction. Ce qui renforce le drame intime tout en posant l'univers du métier de passeur : impersonnel, mécanique, inhumain. On continue d'avancer dans un monde où l'humanité s'effrite, à coup de bureaucratie froide, de maladies qui rongent de l'intérieur, et de murmures qui détruisent l'âme. Encore un sacrée chapitre <3

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Elian veut en finir rapidement, mais il pourrait en insistant en finir tout court.

Très bien dit

À jour ❤️ merci pour ton soutiens également ❤️