Si je comprends l'intérêt de la scène et sa place dans le récit (je suis d'accord avec les propos de Patrick de Tomas), j'ai eu du mal à entrer dedans. J'aime beaucoup tes descriptions, mais le côté très passif du récit me dérange curieusement. Il faut le temps de m'y habituer aussi !

Quelques petits ❤️ en attendant de te lire 🌸

C'est vraiment curieux cette relation qu'ils ont développé. Pleine de grâce et de "sacrifices". On se demande ce qui pousse ton protagoniste à continuer dans cette voie macabre, car pour l'instant, j'ai l'impression qu'il paie un prix exorbitant par rapport à ses revenus ? Il est mentionné un loyer "cher" au début, mais ce qu'il sacrifie devrait le rendre millionnaire haha

Le ton est moins sombre ici mais tous aussi plaisant: La tension charnelle retenue, ces frôlement anodins deviennent bouleversants. Chaques contact porte une charge émotionnelle, Lyra ne fuyant pas la noirceur d'Elias. Un moment dans leurs intimité très bien emmené. Une justesse remarquable. C'est toujours aussi sensoriel, émotionnel et visuel.

De passer à l'univers sombre et mystique de leur métier mutuel, rival aussi, à cette scène domestique, ces tâches ménagères qu'effectueraient tous les couples normaux, même si l'opulence des lieux donne une dimension exceptionnelles, ç'est brutal, presque incongru. Mais on comprend vite que cet havre de paix est leur cachette, un lieu où l'étrange s'atténue pour laisser le quotidien l'envahir. J'aime beaucoup cette transition, après tant de noirceur, et cette friction de l'obscur et du lumineux.

Merci pour tes commentaires 🙏🏻

J'ai eu exactement le même ressenti, c'est brutal mais nécessaire.

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