Au sujet de ce chapitre je suis mitigée. on sent que Mariella tient beaucoup à son père mais j'avoue que je ne comprends pas trop le fait qu'elle se mette à chanter là comme ça juste à la demande de son père, je ne sais pas ce passage ne m'a pas trop convaincue, ça tombe un peu comme un cheveu dans la soupe. Tu nous introduis ensuite le deuxième prétendant je présume ? Là tu nous dis que Mariella frissonne en sentant son regard et que le gars s'attarde sur ses courbes. Moi j'aurais plutôt laisser planer le doute sur lui. Qu'il ne montre pas d'attirance particulière et pas de réaction chez Mariella non plus. En fait, laisser plus le temps au lecteur de s'immerger dans le récit, comme je le disais dans un autre commentaire. poser le décor, ne pas vouloir donner toutes les informations tout de suite au lecteur, entretenir le suspens...

J'avoue que c'est le chapitre que je déteste le plus. Y a beaucoup d'éléments à changer dedans. Déjà retirer les longueurs inutiles pour permettre d'ajouter des précisions sur l'instant "chant".

là je ne suis pas vraiment d'accord. Si j'ai bien compris c'est une petite ville perdue au milieu de nulle part ? Donc où tu n'es pas à l'abri de raids de bandits de passage ou des indiens. sans compter les bagarres au saloon qui peuvent souvent dégénérer ou encore les duels

C'est encore cette fausse impression de sécurité. Celle que chez elle, il ne peut rien lui arriver.

mouais mais vu l'époque, je ne vois pas comment elle pourrait se sentir en sécurité. Dans certaines "villes" il y avait même parfois plus de morts à boot hill que de vivants. Après, je ne dis pas qu'il y avait un mort/ un blessé par jour lol mais les villes et petites agglomérations de l'ouest de l'époque n'était pas réputées pour être calmes ;-) Donc, je reste quand même sur le fait que ce n'est pas hyper cohérent.

Quelle tribu ?

Vu que c'est au Colorado, des Utes serait le plus logique.

j'apprécie beaucoup cette relation entre elle et son père, c'est émouvant la lutte contre ces verres...

Merci beaucoup pour te lecture attentive.

je supprimerais