Je suis d'accord avec Justine HSR, le dénouement ne tient pas la route par rapport aux précédents événements. Mais j'aime cette façon que tu as de rendre Bertille toujours plus attachante :)

Merci de ton commentaire. Je vais re-travailler tout ça au moment de la ré-écriture pour trouver une autre explication pour l'absence de ma bague :)

Et ben, dis donc, elle s'est bien enfoncée dans la mouïse... mais le mensonge a intérêt à être bien construit, parce qu'il me semble difficile à croire. Pourquoi ? Parce que la description donnée d'Aimé nous laisse penser que c'est un homme sensible et droit dans ses bottes, et il avait une autre copine : Sarah qu'il a dû présenter sérieusement à sa famille avant de la demander en mariage. Comment aurait-il pu rompre avec elle en un lapse de temps relativement court pour ensuite se fiancer avec la voisine dont il n'aurait jamais parlé ? Si les frères avalent de telles couleuvres, on peut affirmer qu'ils sont un peu simplets. En plus, pourquoi Bertille aurait fuit la police avec un legging troué et brisé la vitre du balcon (informations confirmées par les médias télévisés et donc connues par la famille d'Aimé) alors que son fiancé a vu la mort de près ? En bonne petite-copine inquiète et aimante, on se rend direct' au chevet et on attend pas d'être poussée par le papa ? J'adore tes chapitres qui sont toujours frais et drôles, mais ce revirement de situation me paraît trop gros, étant donnés les chapitres précédents. :)

Merci pour ton commentaire pleins de justesse et de bon sens. Aimé n'avait jamais présenté Sarah à sa famille, parce qu'il voulait être sûr que c'était la bonne avant que ses frères la rencontre. Mais c'est vrai que tout le monde a vu Bertille partir de l'appartement. Donc oui, cette fin n'est pas plausible. Il faudra que je re-travaille cette partie pour faire coller les prochains chapitres et que je vois ce qu'ils peuvent trouver comme excuse pour qu'Aimé n'aie toujours pas la bague.

Elle a un don pour se mettre dans des situation.. 🤣🤣🤣

Pas

Oupsi, erreur de ma part

*par

Oh que oui !