Voici la seconde version du début du chapitre, formatée, mais vous la trouverez dans ma dernière publication avec les espaces afin qu'elle soit plus lisible. L’homme contemple les courbes sensuelles de la prostituée. Il ressent le besoin impératif de se retrouver ici, dans le décor criard mais néanmoins douillet de la maison de la très célèbre Madame Georges, chaque fois qu’il va faire la cour à cette petite oie blanche d’Edmée qu’il est maintenant sûr d’épouser. Mais si ce soir, il est enfin parvenu à ses fins, il a dû reconnaître que c’était une victoire sans saveur. Ses non non plaintifs alors qu’elle soupirait de plaisir ne sont plus qu’un souvenir qu’il se dépêche de chasser de sa mémoire. On n’attend pas d’une épouse les plaisirs qu’une vraie femme apporte et la vision de Georgette, parée seulement de sa nudité, lui procure un sentiment intense de volupté et de bien-être. La femme va à sa table de toilette pendant que son client la regarde, les yeux mi-clos. Elle arrange sa coiffure en un chignon savamment ébouriffé et ajuste son masque qui cache le haut de son visage. Un long foulard multicolore en soie, serré sur son cou d’albâtre par un camée, l’habille simplement.

J'ai publié une version soft après la fin des 3 chapitres de Georgette. Laquelle vous plait le mieux ?

je voudrais l acheter