Voilà encore un chapitre très fort qui me laisse sur le bout de ma chaise qui menace de céder pour me laisser choir brutalement au sol ! Tes descriptions sont vraiment superbes et j'ai eu peur pour ma jugulaire en lisant le passage où la chasseresse maintenant vampire fait claquer sa mâchoire près de la pauvre Élisa. Il est clair que la transformation peut être difficile pour certaines victimes... Mon seul bémol ici serait que tu devrais peut-être expliquer pourquoi Élisa, malgré sa morsure, semble être restée une humaine. Aussi, peut-être faudrait-il présenter une esquisse d'explication sur la différence entre Mélaine et cette chasseresse. Pourquoi l'une est si aggressive alors que Mélaine n'adoptait certainement pas cette attitude ? Je me fais mes propres explications, mais il faudrait au moins quelques pistes pour nous guider dans nos hypothèses.

C'est vrai. J'ai tellement le nez dans le guidon de cette histoire que je n'ai pas remarqué que certains points n'allaient pas de sok et qu'ils nécessitaient des compléments. Merci pour ta perspicacité.😉

Superbe chapitre qui laisse le lecteur en haleine... et qui tremble autant qu'Elisa... bon sang (c'est le cas de le dire). Je comprends que le chapitre en soi ne réclame pas d'autres explications, on est dans l'action avec tes personnages et donc, pas vraiment le moment de se poser pour une petite séance d'introspection. Néanmoins, j'aimerais comprendre pourquoi Elisa (qui a vraisemblablement été mordue par un vampire) n'est pas comme cette enragée de la prison. On comprend aussi que la relation entre Elisa et Mel est très profonde, très intense. En quoi Mel diffère-t-elle de notre gentil petit monstre de la cellule qui pue la mort ?

*près

inutile

ouiii!

la phrase tient sa place. En amont, tu aurais pu distiller au fil du chapitre un "je tremble", "je fais tout pour planquer ma peur". Ce n'est qu'ici en somme que je la trouve plus sensible, avant j'ai l'impression que c'est une héroïne qui peut tout affronter sans peur, le type "héroïne cliché", il faut garder sa sensibilité de femme sans la rendre faible, je suis d'accord. Plus tu feras monter ses craintes et plus le lecteur sera emporter dans l'émotion avec elle. Fais nous entrer davantage dans sa tête, fais nous ressentir ce qui se trouve dans ses entrailles. Avec l'emploi du "je" c'est plus facile

dis en davantage, elle doit tout de même avoir peur même si cette peur reste planquée, on doit la ressentir aussi

Et surtout depuis quand cette vampire est enfermée dans cette cellule, affamée ? Pour être honnête, je ne sais pas du tout😉🤣