Bon par contre j'ai eu la chance de pouvoir lire toute l'histoire d'une traite jusqu'ici, et j'avoue que j'aime tout à coup beaucoup moins le concept de devoir attendre pour avoir la suite ! haha

Dis toi que ça fait depuis le 1er décembre que je fais que deux chapitres par semaine. hahaha ! Et là on finit le 28 février.

Sur ce coup là je la trouve un peu trop prompt à pardonner la Lola... C'est peut-être un peu trop tôt par rapport à la découverte de la trahison de Dred, il n'y a pas eu de nouvel événement entre eux qui pourrait expliquer qu'elle lui fait de nouveau confiance.

Oui, je comprends ce que tu veux dire, faudrait soit que je l'enlève carrément pour en reparler plus tard, soit que je les laisse trainer avant de venir vers le chalet. Après, Lola n'a jamais eu de personne comme Dred dans sa vie. Elle même voulait le manipuler, du coup je me suis dit, en vrai, elle peut laisser les choses se faire. Et puis il faut qu'elle aille vers ce chalet sans se faire remarquer, si elle donne Dred, elle perd l'effet de surprise.

Une autre escalade d'engagement, mais une tendre, celle-ci !

<3

Je les adore ! :)

Une très belle variation sur le célèbre euphémisme de Corneille « Je ne te hais point ». Ça donne envie de rigoler, parce qu’on sent bien que Lola donne son maximum affectif, là… et pourtant, ça me touche. Parce que, aussi bizarre que ça puisse paraître, je me reconnais (et c’est bien la première fois que j’ai l’occasion de m’identifier à Lola !) Je ne suis ni violente, ni misanthrope, ni même solitaire, mais… j’ai du mal à vivre avec les autres. Au quotidien. La colocation, la vie de famille ou de couple, c’est vraiment pas pour moi. C’est pas parce que j’aime quelqu’un que je suis capable d’habiter avec. Même mes propres parents, mes meilleurs amis, ne font pas de bons coloc pour moi. Y a une seule personne, de toute ma vie, avec qui je me suis sentie (et me sens toujours dix ans plus tard) vraiment bien, avec qui ça semble naturel, facile et plaisant de vivre. Que je « tolère », et à qui, pour moi, ça a plus de sens de dire « je te tolère », que « je t’aime », parce que j’aime beaucoup de gens, mais je n’en tolère qu’un véritablement proche de moi à ce point.

Encore un commentaire fabuleux. Oui, Lola n'a jamais connu personne d'autres. Elle qui a toujours dû vivre seule, se forger seule, être avec quelqu'un autant de temps (même si pour nous, une nuit parait pas grand chose), c'est énorme.

J'en profite pour te dire que : la nouvelle couverture est super ! Je la préfère à l'ancienne !