Coucou ! Premières impressions après lecture du début de ton histoire. Je suis parvenue jusqu'ici. Ce début est très intense et triste. On ressent le désespoir de Nash qui a vécu cet horrible accident qui lui a coûté la vie de ses amis. Je n'ai pas bien compris comment ils sont morts d'ailleurs mais peut-être que tu l'expliqueras par la suite ? De même, en ce qui concerne le décès de sa mère je ne suis pas sûre d'avoir compris. Il se réveille à l'hôpital et sa mère est morte sur la chaise a côté de lui ? Si c'est le cas, que font les infirmières et les médecins ? Ils n'ont rien remarqué en passant chaque jour pendant qu'il est dans le coma ? L'hôpital publique français est en perdition mais l'est-il a ce point-là ? Lol. En tout cas je te félicite, c'est un début qui captive et donne envie de poursuivre la lecture donc c'est plutôt positif 😊

La présence de l’infirmière apporte un fragile contrepoint de douceur, mais Nash reste enfermé dans une prison intérieure. La suite !

J’ai l’impression de vivre l’histoire à la place du protagoniste, c’est remarquable. Tu as une façon d’écrire vraiment très poignante.

toujours aussi poignant. les descriptions sont tellement maitriser qu'on a l'impression d'être nous même le protagoniste, c'est assez impressionnant ! Ce début de roman est sombre comme on les aime... Et pauvre Nash... :( Pourquoi on aime autant faire mal a nos héros...?

Ce chapitre est toujours aussi poignant. On l’imagine dans cette chambre d’hôpital, seul et désespéré. Tes mots écorchent l’âme, la description de sa douleur nous plonge avec lui dans la tourmente. L’infirmière essaye de l’aider mais on sent bien qu’il n’est pas prêt, le pauvre.

On ressent profondément le mal-être, presque physiquement.Ton texte est profondément touchant, littéraire, et immersif. Quelques ajustements sur la syntaxe, les répétitions, et une légère simplification de certaines phrases sont à revoir.

Franchement, ton chapitre 3 m’a mis une claque monumentale. Je l’ai lu, et j’ai eu l’impression qu’on m’arrachait le cœur pour me le rendre en miettes. La façon dont tu fais parler Nash, c’est… wow, c’est comme si je ressentais chaque goutte de sa douleur dans mes propres veines. Cette image de son âme écorchée, de ses pensées noyées sous une pluie d’averse, ça m’a collé des frissons, et je t’avoue que j’ai eu les larmes aux yeux en lisant. C’est tellement brut, tellement vrai. Tu arrives à faire sentir ce vide immense qu’il porte, ce chagrin qui le bouffe de l’intérieur, et en même temps, il y a cette douceur dans tes mots, comme si tu caressais sa peine tout en la rendant insupportable. L’infirmière qui essaie de le ramener à la vie, qui lui parle de sa mère, ça m’a brisé. J’ai repensé à des moments où j’ai vu des gens que j’aime lutter, et t’as capturé ça d’une manière qui fait mal, mais qui est si belle. Je sais pas comment tu fais pour écrire quelque chose d’aussi déchirant et poétique à la fois, mais c’est du génie. Je te jure, j’ai refermé le chapitre et j’ai eu besoin d’un moment pour respirer, pour digérer tout ça. T’as un don pour faire sentir l’âme humaine, ses fêlures, ses cris silencieux. Continue, s’il te plaît, même si ça fait mal, parce que ce que tu écris, ça touche au cœur, ça reste gravé.