Alors par quoi commencer, ton écriture est toujours cohérente depuis le début, les sensations sont bien là sans en faire trop. Ce chapitre me laisse entre deux, entre celui du passé et celui du présent. Moi j'adore, je fais de même dans mon récit du passé/présent. Bref on passe du début ou on ressent encore sa solitude et sa fatigue morale qui se punit personnellement puis brusquement tout change et malgré la peur et la douleur il avance car il refuse de répéter ce qu'il s'est passé. Son métier le tient encore debout ! Pour l'avis constructif, bon là la douleur est répétée souvent mais un peu trop souvent d'un paragraphe à l'autre. Je dirais pas d'en enlever mais soit plus espacer ou reformuler autrement.
Mathilde_Julie
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Il y a 2 jours
Je n’arrive pas à trouver le juste milieu entre le « peu d’émotion » et le « trop », tes retours m’aident beaucoup ! Ça me permet de voir ce qui fait trop lourd pour le lecteur ! Je vais pouvoir reprendre ce chapitre pour l’ajuster au mieux ! ☺️
Shine_ecriture
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Il y a 9 jours
Ton chapitre 2.2 est d’une intensité incroyable 🔥. Tu maîtrises parfaitement la descente émotionnelle de Kaël : dès qu’il quitte le bar, on sent que tout recommence à peser sur lui. Le contraste entre la chaleur étouffante du bar 🍺🔥 et le froid brutal de la rue ❄️ crée une rupture immédiate qui colle parfaitement à son état mental.
La relation avec Rhéane est magnifique de justesse 💛 : c’est pudique, loyal, jamais appuyé, juste deux personnes qui se connaissent trop bien. Le mensonge que Kaël prononce — et que Rhéane reconnaît sans rien dire — fait vraiment mal, parce qu’il sonne vrai 💔.
Le message vocal de sa mère… c’est un coup de poing émotionnel 🎧🥀. Tu y mets le juste niveau de fragilité sans tomber dans le mélodramatique. Le “Tu nous manques” résonne longtemps, comme un fil invisible qui tire Kaël vers ce qu’il fuit.
Puis vient la fumée.
Et là, ton écriture devient cinématographique 🎬 : odeur, progression, rampement de la fumée, montée de tension, passé qui remonte en flashs brutaux. C’est viscéral. On sent la panique, la mémoire traumatique qui explose, l’instinct du pompier qui prend le relais malgré la douleur de ses côtes 💥.
Le rythme est parfait :
➡️ accélération
➡️ flash traumatique
➡️ retour au présent
➡️ décision instantanée
➡️ entrée dans le feu
Tout fonctionne. Et ta dernière phrase — “Je ne laisserai personne brûler cette fois-ci. Plus jamais.” — est l’une des plus fortes depuis le début. Elle donne un sens, un moteur, une faille. Elle ouvre directement sur l’action et sur son passé sans l’expliquer frontalement. C’est puissant 🔥🖤.
En résumé : un chapitre tendu, sensible, terriblement humain et parfaitement calibré pour Fyctia. Tu montes d’un niveau à chaque scène.
7 commentaires
Sofia77
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Il y a 2 jours
Mathilde_Julie
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Il y a 2 jours
Shine_ecriture
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Il y a 9 jours
Mathilde_Julie
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Il y a 9 jours
Freya Mickael
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Il y a 10 jours
Mathilde_Julie
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Il y a 10 jours