Princeza Bleue L’envers de nos maux Finiront

Finiront

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12 commentaires

Sarah B

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Il y a un an

Coup de pouce !

Anne-Charlotte Raymond

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Il y a un an

Très beau chapitre !

Anne-Charlotte Raymond

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Il y a un an

Bien trouvé ;-) !

Léa Muna

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Il y a un an

Dans ce chapitre, l'idée du câlin qui devient prison est bien exploité et permet de développer les traumatismes de Wilma. On sent bien tout le décalage entre ce qu'elle souhaiterait, être capable de passer au-dessus, d'accepter ce geste pour ce qu'il est, un signe d'affection et de réconfort, et la réaction épidémique, viscérale, de ce corps et de sa mémoire qui revit les sévices des derniers mois. L'empreinte du poète est toujours bien présent, et elle ne s'effacera pas si facilement. Le chapitre peut gagner en fluidité au niveau des dialogues. Ici, elles sont plusieurs à s'exprimer, et il est important de visualiser rapidement qui parle. C'est pas toujours facile, on n'a pas trop envie de répéter des verbes comme "dire" en incise, mais il y a aussi la possibilité de rajouter une phrase d'action entre deux répliques de façon à signifier, de ce faite, la personne qui prend la parole. Le lecteur a tendance à prendre le dernier personnage à agir comme étant celui qui parle s'il n'y a pas de précisions contraires.

Léa Muna

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Il y a un an

Je n'ai pas compris cette réplique. Wilma n'a pas proposé de câlin, si ?

Léa Muna

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Il y a un an

ok. C'est bien ça.

Léa Muna

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Il y a un an

Je suppose que c'est Ima ?

Léa Muna

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Il y a un an

Qui parle ? Toujours J. ?

Léa Muna

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Il y a un an

Super, cette réplique

Léa Muna

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Il y a un an

J’aime bien ce genre de personnage un peu rentre dans le tas 🥰