aonlee Beneath Our Borrowed Skins ✧ CHAPITRE 1- LINNEA✧(1.2)

✧ CHAPITRE 1- LINNEA✧(1.2)

Tu as aimé ce chapitre ?

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11 commentaires

Thaïs Sonnet

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Il y a 3 mois

bienvenue dans le concours, je suis à jour ici belle journée ❤️

Teylsen

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Il y a 3 mois

🙂​☘️​🙂​ Likes de bienvenue. On attend la suite. Un soutien en retour, si tu peux, serait apprécié. Bonne soirée.

Alienn Hoshi

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Il y a 3 mois

Passage en soutien 🌻

Blanche de Saint-Cyr

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Il y a 3 mois

Bienvenue dans le concours 🍀

J.Branaë

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Il y a 3 mois

À jour ❤️ merci pour ton soutiens ❤️

Gabriel Rose

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Il y a 3 mois

Bienvenue et bon courage 😋

Audrey Pleidel

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Il y a 3 mois

Soutien 💜 Si le coeur t'en dit, n'hésite pas à passer sur mon dernier chapitre pour m'aider 🫂

Dystopia_Girl

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Il y a 3 mois

Ce qui marche bien dans ton chapitre, c’est l’ouverture. On est tout de suite dans le film, presque dans une scène de série ou de cinéma. Le rythme est nickel à ce moment-là : les phrases sont courtes, ça donne de l’urgence, de la panique. C’est super efficace pour accrocher. Ensuite, un autre gros point fort, c’est tes personnages secondaires. Tu ne prends pas des pages pour les présenter et pourtant, ils existent tout de suite. En quelques phrases, chacun prend une couleur différente : la peur pour la fillette, la colère mêlée à l’amour pour la femme, l’apaisement pour l’homme. Ça empêche que tout soit monochrome ^^(1)

Dystopia_Girl

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Il y a 3 mois

Par contre, là où ça coince un peu, c’est dans l’accumulation. Ton texte enchaîne les cris, les sanglots, les étreintes étouffantes, les pleurs, les hurlements… Alors oui, ça donne un effet de débordement émotionnel et c’est intense, mais ça peut aussi noyer le lecteur. Comme si on n’avait jamais un moment pour respirer entre deux vagues. Du coup, ça finit par fatiguer. Un autre truc à noter : t’as tendance à revenir souvent sur les mêmes sensations, le même vocabulaire autour du corps. Ça brûle, ça suffoque, ça étouffe, ça tremble… (2)

Dystopia_Girl

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Il y a 3 mois

Et enfin, la scène du miroir. La manière dont tu décris ce corps est un peu trop parfaite : dieu grec, muscles, beauté impeccable… ça marche pour marquer la différence, mais ça peut aussi faire un peu trop lisse, trop irréel par rapport à la panique et au chaos intérieur du moment. Peut-être que si tu gardais le côté impressionnant du corps, mais en le mêlant à un détail plus cru, plus concret , ça renforcerait le malaise. Je pense que c'est tout, je pense avoir fait le tour... bonne continuation :) (3)