Donc, quand les Amazones partent au combat, il ne reste qu'à la cité les prêtresses et les enfants ? Pas une seule combattante ?

Sauf que, si les Amazones sont entraînées jusqu'à être désignées, celles qui ne sont pas parties ne devraient pas être que de frêles et fragiles créatures 🤔

Détruire*

Au pluriel, elle en a plusieurs des larmes.

L'horreur dans ce chapitre atteint un paroxysme difficile à supporter... La mise à mort de toutes ces jeunes filles est un poids difficile à porter même quand on sait que c'est une histoire purement dans le domaine de l'imaginaire. Au moins, cela a réveillé le coeur de Malpia qui fera maintenant tout pour venger la mort de toutes ces femmes qui ne demandaient qu'à profiter de la paix de leur forêt sacrée. Il serait temps que leur déesse prenne position pour elles et qu'elle gratifie les quelques survivantes d'une force divine pour repousser les envahisseurs ! Bravo pour les descriptions des combats qui font rage, la scène est très forte.

Oui, même moi en l'écrivant je me suis dis que j'abusais peut-être un peu mais au final je trouve que ça dépeint une certaine cruauté chez les barbares. Merci encore pour tes commentaires positifs

Cette phrase semble incomplète...

J'aurais peut-être dû mettre "entaillant sa cuisse"

Mais il manque quand même une suite à la phrase ? Du genre : "La grande prêtresse maintenant Malpia sous le bras pour la supporter en voyant la plaie béante entaillant sa cuisse."

Ah en fait c'est fait exprès. Malpia est mal en point et choquée et ne voit la réalité que par morceaux, je le justifie en disant qu'elle n'arrive plus à réfléchir et ne voit que ce qu'il se passe sous ses yeux. Ce sont donc des moments différents et bien distincts pour cette raison.