Encore une fois, loin de moi l'idée de te tarir d'éloges au point que tu finisses par douter de leur authenticité mais wow ! Je ne sais pas si c'est dans ta manière de penser chaque mot, chaque symbole ou métaphore afin de l'étirer naturellement sur des lignes et des lignes, comme un fil conducteur qui relierait chaque élément du décor ou de tes descriptions entre eux mais, entre la figure de l'oiseau qui porte le récit autour des vizirs et de ce que Zelina représente (ici le paon), l'image du tissu de son évantail et de sa tenue, très souple et pourtant si tendu, à la fois malléable et porté par la force de la haine et de la culpabilité, de cette envie de manipuler, de jouer des faiblesses et de ne plus se laisser faire ! En bref, c'est purement addictif. Surtout que mine de rien, 7000 caractères de description a vite fait d'engloutir le lecteur et pourtant, on vit ces moments comme des passages à part entière, avec presque autant d'action que dans les discours, tout simplement parce que tu es douée de cette faculté à rendre tes descriptions et tes introspections vivantes. Il y a de la vie dedans, et même le plus immobile des objets du décor se meut grâce à ta plume. Et je te passe les détails concernant le rythme, les allitérations, la sonorité de tes tournures de phrase... un plaisir pour les oreilles une fois relu à voix haute. Maintenant, j'espère que Amon sera à la hauteur de Zelina et qu'il sortira de son silence... je sais qu'il a des choses intéressantes à dire !

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