Bon. On est d’accord : tu devrais avoir ta propre loge à l’Opéra, parce qu’avec une plume pareille, tu viens de nous offrir le meilleur des ballets… sans qu’on quitte notre canapé. Sérieusement.
Ce chapitre est une partition émotionnelle parfaitement jouée : la justesse dans les silences, la tendresse dans les regards, l’humour qui tombe toujours au bon moment (mention spéciale au "tournoi de trampoline", j’ai ri comme un idiot dans le bus, merci). Et surtout cette tension douce-amère entre Alma et Jun, qui joue comme une ligne de violon discrète mais persistante, là, juste sous la peau.
Ta capacité à nous faire ressentir l’infime — un frisson, une main posée, un regard à demi capté — c’est magique. Et ce passage à l’Opéra ? Un tableau. Un rêve. Un battement de cœur suspendu. J’ai vu la scène, j’ai entendu le piano, j’ai ressenti cette espèce d’émerveillement pur et rare. Et ça, c’est un vrai cadeau de lectrice que tu nous offres.
Je pourrais continuer encore longtemps, mais je vais me contenter de te dire ceci :
Merci. Merci pour cette douceur, cette poésie, cette justesse. Et pour cette romance en filigrane qui nous attrape mine de rien… et qui ne nous lâchera pas de sitôt.
(P.S. : Franck qui parle au piano comme à un vieil ami ? Je l’adopte. Donne-lui un spin-off.)
(P.P.S. : Jun. Je t’ai à l’œil. Tu ne feras pas fondre notre Alma comme ça sans prévenir.)
📯 Prêt pour la suite. Et je t’applaudis bien fort, rideau ou pas. 👏
Sunny NDV
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Il y a 8 mois
On s'y croirait, c'est envoutant ;-)
L'amisolitaire 🔥
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Il y a 8 mois
J’aime bien les détails de la pièce de théâtre qui n'était pas dans la première partie.
3 commentaires
MelinaSANYA
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Il y a 8 mois
Sunny NDV
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Il y a 8 mois
L'amisolitaire 🔥
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Il y a 8 mois