Oh je sens que ça va déménager ! Cette histoire de grimoire est ce qu’il lui fallait surtout si elle ne croit pas en la magie !

Je trouve que l’humour tranche avec la tristesse Elle essaie de relativiser mais dans la souffrance c’est dur Sa donne une lecture plus profonde ❤️

Ce chapitre est vraiment réussi : il dégage une chaleur et une sincérité qui captivent dès les premières lignes. On sent toute la progression émotionnelle d’Hazel, le passage de la mélancolie à l’apaisement est très bien dosé, jamais précipité. Le ton reste intime, plein de douceur, et l’équilibre entre introspection, tendresse et humour est juste parfait. Les scènes avec Léa sont une vraie réussite : elles allègent le texte tout en renforçant la dimension humaine et émotionnelle de l’histoire. Le lien entre elles est naturel, vivant, et leur complicité donne beaucoup de relief à Hazel, qui gagne en profondeur au fil du chapitre. Ce que j’aime particulièrement, c’est la façon dont la maison devient presque un personnage à part entière, on la voit “respirer”, s’ouvrir peu à peu à Hazel, ce qui rend leur lien touchant et symbolique. Les petits détails du quotidien, les odeurs, les gestes simples, ancrent le récit dans une réalité très sensorielle, ce qui le rend immersif. La fin, avec la découverte du grimoire, est un excellent choix : elle relance la curiosité du lecteur, laissant deviner un tournant plus mystérieux tout en gardant la cohérence du ton. Si je peux me permettre un petit conseil : tu pourrais parfois resserrer légèrement certains passages descriptifs (notamment sur les tâches ménagères ou les gestes répétés) pour garder un rythme fluide sans alourdir la lecture. Le texte est si bien écrit que tu n’as pas besoin d’en dire trop, la force émotionnelle passe déjà très bien.