C'est le calme avant la tempête, parce que le sevrage va être moche, en tout cas je pense. Mais on dirait que ça y est, l'interrupteur a basculé dans l'esprit de Line et elle est prête à se jeter dans le vide, sans filet. Enfin, presque sans filet, parce que Malcolm lui a prouvé qu'il allait être présent pour elle. J'imagine les mots de Malcolm à la fin, les mots les plus difficiles à entendre pour quelqu'un qui se déteste comme Line (c'est si dur à croire). Le fait qu'on ne puisse pas les lire renforce ce côté "je-peux-même-pas-y-croire". Hâte de creuser tout ça, savoir quel est ce traumatisme qui a poussé Line à se haïr elle-même à ce point (même si, clairement, ça aussi ça va être moche).

Ta plume est toujours aussi belle dans ce qu'elle décrit de difficile. Encore bravo pour cette histoire 💪

Encore un chapitre poignant. Malcolm est encore une fois prévenant et parfait. Qu'est-ce que j'ai envie de savoir ce qu'il lui dit à l'oreille. le lâché prise de Line est merveilleux, même si ça me tord le ventre ce passage où elle se drogue. A la fois, on comprend ce qu'elle cherche et ce dont elle a besoin avec la drogue ; et à la fois on voit les séquelles sur son corps et son esprit. le mal être que ça génère chez elle. Je me dit que le sevrage va être difficile et surtout son retour au quotidien après ça. Elle va devoir retrouver une raison de s'accrocher à la vie et j'aimerais bien que Malcolm y soit pour quelque chose.

Une tendresse bienvenue dans cette fin de chapitre. Ça fait du bien de voir Line se détendre et se rendre aux arguments de Malcolm.