Rien. Il n’y avait rien qu’elle puisse faire. Rien du tout. Maintenant, c’était tout ce qui importait. (Maintenant, c'était tout ce qui se rêvait.) Elle allait tracer son bout de chemin. (Elle allait accoster son jeu d'apéritif.) Elle adorait les étoiles.(Elle entraînait les fantaisies.) Il détestait la nuit et toutes ces stupides pensées sur les étoiles et l’imagination qui en pouvait découdre. (Il draguait la féerie et toutes ces interlopes pensées sur les fantaisies et l'amoureuse qui en pouvait fêter.) Elle s’appelait Pervenche et lui Astrée. (Elle se tanguait... et lui...) C’était une nuit noire quand ils se rencontrèrent. (C'était une féerie somnolente quand ils se reçurent.) A broyer du noir et manger du chocolat. (A la rencontre de l'interlope et lampadaire du débauché.) La seule raison qui importait maintenant, c’était que les destins sont tragiques… la vie est une tragédie à tout point de vue. Pourquoi en faire un cinéma, si vous n’avez plus de pop corn ? Pourquoi essayer quelque chose qui ai vouez a l’échec ? Et enfin, pourquoi continuez quand tout est contre vous ? *** Il y a un moyen de recréer ce monde, menacé par la cupidité des dieux et déesses, autant de fées anciennes et plongeant dans leur propre regrets. Faut-il refaire les mêmes erreurs qu'au passé, quitte à perdre les royaumes et laisser faire les plus puissants ? Mais les enfants fées sont rares dans ce Petit-Peuple.  La brèche béante de leur manque d'humanité est le moins sort favorable pour les vivants. Les fils tissant le passé, ressemble à celui d'Ariane : long à perte de vue et vain. ***