Je te remercie et pour le vol j'ai bien modifié dans mon manuscrit avec une escale à New York !

J'adore le côté psychologique de ce chapitre. Être plongé au coeur de cette famille détruite est certes quelque chose qui ne peut être planifié à l'avance.

Chapitre très intéressant, tu décris très bien les émotions et "motivations" des différents personnages.

Le père est vraiment très touchant, on comprend bien pourquoi il tombe dans cet espoir peu rationnel. Je trouve que Noé montre vraiment à la fois son côté opportuniste, mais aussi sa rigueur scientifique qui pourrait bien faire des miracles.

La rencontre avec les parents, enfin essentiellement le père est très touchante. Sa détresse est papable. Bien sûr, il est prêt à tout tenter pour retrouver son fils et ça se comprend. Marianne ne donne aucun crédit à Noé, ce que je peux concevoir, il n'empêche qu'elle n'est pas plus avancée… J'ai hâte de l'entendre développer ses pistes (si elle en a, bien sûr!). Sur la forme: les dialogues sont réalistes et tes descriptions nous permettent de nous projeter facilement : c'est bien joué ! 😉

Très touchante cette rencontre avec les parents. On ressent bien leur détresse. Je m'imagine à leur place, c'est affreux. Moi aussi j'aurais envisagé l'enlèvement d'extraterrestre, du capitaine crochet, les elfes...

Tout le monde prend le cyrptozoologue au sérieux ? C'est quand même un domaine d'activité qui devrait prêter à sourire pour les plus rationnels et terre à terre d'entre nous. Surtout dans le cadre d'une enquête. Petit point: personne n'est diplômé d'Oxford à proprement parler. Tu es diplômé d'un College d'Oxford. Style Wolfson, Exeter, St Anne… c'est une broutille, cela dit. Bonne continuation.

Si tu lis bien tu comprends que la détective ne le prend pas au sérieux et que le père de famille est déboussolé par les théories de Noé. Je suis renseignée sur l'université d'Oxford mais je ne voyais pas l'intérêt de perdre le lecteur dans ces détails :)