Les paroles du père pouvaient sembler injuste à Nadia mais, mine de rien elle s'est rendu compte qu'il avait raison et elle s'en est souvenue toute sa vie. Quant au prof d'économie, il est sévère mais a très bien su tirer son élève vers le haut. Maintenant Nadia peut être très fière d'elle. Reste à découvrir l'histoire de cette femme meurtrière.
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Ça y est, je trouve enfin le temps de te lire. Je ne vais pas aller très vite mais je vais essayer d’aller jusqu’au bout. C’est marrant, cette anecdote avec son père m’en rappelle une avec le mien, pourtant très différente. Après une année de prépa, qui n’était pas à la hauteur de mes attentes, j’ai intégré la fac d’anglais. Je suis rentrée un soir avec deux premières notes plus que moyennes et je me suis effondrée en disant que je n’avais peut-être pas finalement choisi la bonne poursuite d’études. Mon père m’a alors dit que je n’avais pas intérêt à arrêter là parce que je le soulais depuis mes huit ans à dire que je voulais être prof d’anglais, qu’il l’avait déjà annoncé à tous ses potes , et que si je ne devenais pas prof d’anglais, j’allais le faire passer pour un con… 😅
Enisseo
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Il y a 9 mois
Une autre morale :D Ça a marché ?
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Je suis agrégée d’anglais depuis mes 23 ans et fais une partie de mes heures en post bac (BTS et Prépa scientifique)… 😏 La culpabilisation paternelle comme coup de fouet radical.
Enisseo
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Il y a 9 mois
Quelle efficacité ! Moi j'ai pas touché à une goutte d'alcool entre mes 16 et mes 27 ans principalement parce que ma mère m'a dit "oh tu verras, tu seras saoul un jour". Le défi était lancé.
Eva Boh
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Il y a 9 mois
🤣🤣🤣 Je vais tester ça avec mes fils… 😏
Eva Boh
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Il y a 9 mois
J’aime énormément cette tournure.
Leeken
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Il y a 9 mois
Très jolie évolution du personnage principal, direct dans le premier chapitre. On ne s'ennuie pas, l'idée de base est claire et la lecture est fluide. Good job ! :)
Simplement, j'ai l'impression que parfois, tu racontes les éléments un peu à l'envers et dans un ordre pas toujours le plus logique. Il y a les premières phrases relevées à propos du professeur d'éco, où tu passes du prof au père, au prof au père, etc...
Il y a ensuite le discours du père qui est très intéressant, mais j'ai du mal à voir où il voit qu'elle s'en est remise au destin (pour raccrocher la conclusion moralisatrice du père aux propos échangés juste avant.) Elle a oublié son agenda, ce n'est pas comme si elle avait décidé de ne pas noter parce que pouf, elle s'en souviendrait. C'est vrai qu'elle aurait pu le noter autre part et qu'elle ne l'a pas fait. Mais s'en est-il remise à la chance pour autant ? Elle aurait pu aussi l'écrire sur un endroit à risque, sur sa main. Ou alors, elle aurait pu se dire qu'il aurait rappeler l'information et qu'elle ne se serait pas inquiétée. Ou qu'avec un peu de chance, quelqu'un lui redonnerait la date.
Après, j'aime beaucoup le contraste que tu donnes, de toute manière, entre la morale émise, et le fait que le père est lui-même dans une situation où il n'applique pas nécessairement cette morale. (Enfin, c'est ce que la narratrice laisse penser.)
J'aime bien aussi tout le passage sur la paranoïa. (J'étais en train de me dire qu'elle était grave paranoïaque, avant qu'elle ne le dise elle-même et que le discours du père la ramène à quelque chose de plus réaliste. ^^)
Pour le deuxième "bloc", c'est pareil, parfois j'ai l'impression que l'ordre de ce que tu racontes est un peu étrange. Tu parles du CAPA, puis tu en reviens au baccalauréat. Alors qu'en tout logique, les années bac sont évacuées dans le bloc 1. Du coup, est-ce que ça n'aurait pas été plus intéressant de rester sur les années fac/CAPA ?
40 commentaires
Vanessa BOUGRER-CINQVAL
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Il y a 8 mois
Enisseo
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Il y a 8 mois
Gottesmann Pascal
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Il y a 9 mois
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Enisseo
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Il y a 9 mois
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Enisseo
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Il y a 9 mois
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Eva Boh
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Il y a 9 mois
Leeken
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Il y a 9 mois