je ne suis pas sure d'apprécier Lorenzo plus que ça... Il me fait penser à César....

Je comprends... En effet ils ont le sens de la manipulation en commun, la différence Lorenzo est un bon amant ❣

👍

prévu

J'aime beaucoup les personnages féminin. Lorenzo ? Il est comme il est, un dragueur compulsif, à voir s'il finit par se prendre les pieds dans la tapis !

Cela lui pend au nez en tout cas :)

Coucou ! La première phrase m'a bogué «capote baissée» : clairement, je l'ai compris de travers dès le début 😂 (c'est une décapotable). Le chapitre est bien écrit, fluide, on découvre un peu plus les personnages de Lorenzo et de Mégane, mais j'ai la sensation d'écouter quelqu'un parler d'eux, et non de lire un roman d'amour (qui est plutôt axé habituellement sur les sensations et impressions du moment présent). Du coup, nous connaissons mieux les personnages, mais on les découvre par la narration au lieu de les découvrir par leur faits et gestes, ou leurs paroles. Certains mystères sont, selon moi, trop vites dissipées. Ils auraient été intéressants de garder certaines zones de mystères plus longtemps et axé ce moment d'intimité entre Mégane et Lorenzo sur ce dimanche après-midi de sexe fougueux. Du coup, j'ai l'impression que l'histoire se dissipe avec un trop grand nombre de personnages ; et nous n'avons pas encore eu la rencontre entre Gaspard et Sonia qui est le coeur de l'histoire (enfin, d'après le résumé ^^)

Coucou Meg. J'aime beaucoup tes commentaires. Pour te répondre, c'est mon parti-pris d'avoir développé deux histoires en parallèles qui vont converger l'une vers l'autre (la narration à la troisième personne me permet de le faire). Gaspard et Sonia vont se retrouver (c'est le propre de la romance) mais il faut donner le temps au lecteur.ice de les connaitre l'un et l'autre : leurs vies, leurs tourments, leur doutes et leurs certitudes. Les tentations positionnées sur le chemin qui mène au grand amour ? Pour moi elles sont indispensables, Lorenzo à son importance dans ce parcours ; tout comme Graziella. Mégane ? sans elle, pas de Lorenzo. Bonne lecture :)

Une pathologie très masculine !

😅