Cette maladie doit vraiment être horrible à vivre.

Voilààààà je suis à jour ! Voici un petit commentaire tout doux et réconfortant qui me permet de te donner mon impression sur ces derniers chapitres. Tu déposes ici une douleur complexe, enracinée dans le corps et dans l’âme, mais tu l’entoures d’une tendresse infinie. Jay n’est pas juste un personnage : c’est une présence. Une ancre. Et on le ressent. Il ne parle jamais trop. Il agit. Il soutient sans jamais imposer. Il fait partie de ces êtres qui ne demandent rien, mais offrent tout. 💛 Et Léa… Léa, c’est la lumière qui vacille mais qui résiste. Cette relation entre sœurs, suspendue entre la culpabilité, l’amour viscéral et les souvenirs partagés, m’a bouleversé. C’est simple, vrai, profondément humain. Et cette scène de la tarte au sucre, aussi banale qu’un après-midi d’hiver, devient sacrée sous ta plume. Parce qu’elle est rare. Parce qu’elle est sincère. Parce qu’elle guérit un peu, entre deux douleurs. 🥧✨ Même les silences dans ton texte parlent. Ils disent l’espoir fragile, la peur qui colle à la peau, la honte de trop sentir, la fatigue d’avoir mal sans réponse. Et surtout, ils disent l’envie d’aller mieux. Lentement. À petits pas. Mais d’y aller quand même. 💭 "Si je veux l’aider, je dois d’abord aller mieux." Cette phrase, elle pourrait être un mantra. Elle sonne juste, fort, essentiel. Comme un début de réparation. Comme une promesse que la lumière reviendra, un jour, même si elle met du temps. Merci pour ce texte d’une profondeur rare. Merci pour cette douceur dans la tempête. C’est magnifique. Vraiment. 🕊️

👍

Tes chapitres sont trop courts 🥲

J’espère qu’on saura bientôt quel est le problème

J’espère pour Janie qu’elle trouvera vite ce qui lui arrive

Très beau chapitre doux-amer 🥲

Mais c'est quoi cette maladie affreuse ?! 😵‍💫