Franchement, j'adore le ton de ce passage ! L’héroïne est incroyablement vive et son sarcasme rend son caractère immédiatement percutant. On sent bien l'énergie brute et le mépris qu'elle a pour Damiano. Le contraste entre son épuisement post-fête ("Une sieste n’a jamais suffi...") et l'urgence de la situation ajoute une belle dynamique… j’aime vraiment beaucoup

j’adore l’énergie nerveuse de ce chapitre. On sent que tu écris au plus près de ton héroïne — sa mauvaise foi, sa gueule de bois morale, son humour légèrement désespéré. On est dans sa tête, avec son agacement, sa fatigue et son ego cabossé. Et puis BAM : Damiano. Bon ok j’avoue que ce prénom m’avait d’emblée intriguée 😁 et bien il ne m’a pas déçu ! L’entrée en scène est parfaite. Ça pique, ça grince, ça crépite. Leur dynamique est déjà au bord du clash, et pourtant ça donne envie de sortir le pop-corn. Tu gères super bien le rythme : montée de tension, mauvaise surprise, déni total, puis confrontation frontale. Franchement, tu m’as fait sourire, lever les yeux au ciel avec elle, et sentir l’électricité ennemies-to-lovers. Ça promet !!

Merci Laura, vraiment. Ça me fait trop plaisir. Et crois moi, tu vas avoir souvent besoin de popcorn avec ces deux là 🩷