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Petit retour lecture de ton début. J'aime beaucoup ta plume. Elle est poétique, c'est agréable et fluide à lire. J'aurai préféré une narration a la première personne mais ça c'est affaire de goût. Par contre je suis très fâchée après toi. Pourquoi as tu tué la mère ? Ne pouvait-elle pas juste être partie pour une raison inexpliquée ? Mais une bonne raison et elle va revenir évidemment hein lol. Dans ce chapitre quelques points m'ont posé problème : lors du rendez-vous chez la psychologue il dit qu'il a bue. Puis qu'il est sorti se promener. Comment est-ce possible avec deux enfants en bas âge à la maison ? Il les a laissé seuls ? Auquel cas la prise d'alcool ajouté au fait de laisser des enfants seuls le soir, la psychologue devrait automatiquement faire un signalement à l'aide à l'enfance ! J'ai de la peine pour Zackari, il est touchant et on a envie de le reconforter. L'addiction a l'alcool et la dépression sont des thèmes forts que tu as choisi de traiter et tu le fais fort bien. Bravo pour ce début d'histoire très prometteur et merci pour tes mots touchants 😘

Merci beaucoup si tu as lu la suite tu comprendras que c'est pas si facile cette histoire 🫨🙏❤️ promis elle va revenir dans l'histoire

J'ajoute ton histoire à ma liste de lecture, n'hésite pas à venir jeter un coup d'oeil à la mienne, je suis friande de retours et de commentaires. Elle s'appelle "Ô quetzal, ô quetzal", et est sur la liberté :)

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À jour ❤️ ❤️ ❤️

Note de l’auteure Ce texte s’est nourri de l’émotion et de la poésie de l’album Paradis de Ben Mazué ainsi que de la puissance des paroles de Mano Solo. Leur univers a inspiré cette écriture fragile, portée par la présence invisible et les instants suspendus.

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