Je ne comprends pas trop ce paragraphe en mode " body positive ", sous la douche, alors que clairement, c'est elle critique son agent Sylvia pour son physique refait au botox, jusqu'à dire qu'elle a 50 ans et que c'est " vieux ". Et quelle juge le docteur uniquement sur son physique : " sexy doc ". On sent bien que toute est dans la superficialité avec elle. Jusqu'à parler de "sex-appeal" au sujet de son attèle, alors que c'est bien le cadet des soucis quand tu as mal aux pieds. Tu préfères le confort à la beauté (surtout quand tu te vantes du body positive!). Et surtout, cette incohérence de fumer quand t'es influenceuse ^^". Quant à la familiarité avec son agent, ça me surprend : elle lui dit " payer cher son appartement " et son agent lui ajoute " influenceuse au bord de l'oubli " : ça signifie que l'agent fait mal son boulot. Il devrait au contraire mettre en avant son travail. Sinon, malgré cette superficialité, il est facile de s'y retrouver et d'être projeté aux côtés de Mia.

je dois*

On aurait aimé en savoir davantage sur le médecin, ce qui s'est passé dans le cabinet médical... Mia éprouve quand même des sentiments autres que la superficialité, non ? Elle est humaine, quand même... car là, j'avoue, on ne dirait pas. Il faudrait dissocier le regard extérieur, froid et méprisant posé sur Mia, de Mia elle-même. Sans quoi, Mia nous est plus antipathique que sympathique, et l'ensemble perd en crédibilité.

Personne ne parle de soi ainsi, surtout à quelqu'un qu'on connaît. On a ici "un regard extérieur" à la limite du mépris qui ne peut être celui de Mia. Ce n'est pas crédible, la superficialité doit être montrée par un personnage extérieur qui pose ce regard, mais pas par Mia.

L'inverse du "body-shaming", donc... c'est intéressant. Ceci dit, il est bien rare de s'accepter ainsi sans un travail sur soi, et on aimerait bien savoir ce qui a amené Mia à cette acceptation.