Ce chapitre décrit bien la vie un peu morne de Léo, qui ne trouve pas de réel plaisir dans son métier de photographe, vit tranquillement. Le rythme des phrases renforce ce côté routinier, ça fonctionne bien. Peut-être juste le paragraphe sur le café, il y a une répétition de « traîner » dans la première phrase, et pas de verbe dans la seconde, je trouve que ça ne fonctionne pas parfaitement bien. Je ne suis pas certaine de comprendre exactement quand ce chapitre se déroule par rapport au premier… la fin est assez confuse, avec le Polaroïd sur le pas de la porte, désormais dans une enveloppe ? Pas certaine d’avoir saisi. Mais peut-être est-ce un paradoxe temporel ?
Rose Rouge
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Il y a 10 mois
Disons que la temporalité dans le roman est volontairement floue, cela permet de mettre en place mon ambiance brumeuse, incertaine et d'insérer le contraste entre vie terne et l'adrénaline de l'intrigue
Si c'est vraiment dérangeant à la lecture je m'en excuse
Leo Degal
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Il y a 10 mois
Non, ce n'est pas du tout un souci, si c'est le but ! 👌 ça marche !
3 commentaires
Leo Degal
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Il y a 10 mois
Rose Rouge
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Il y a 10 mois
Leo Degal
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Il y a 10 mois